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Le président Obama a déclaré dans un communiqué que M. Buckles vécu «une vie remarquable qui nous rappelle le vrai sens du patriotisme et de nos obligations envers les autres comme les Américains."

Né dans le Missouri en 1901, Frank Buckles s'était immédiatement porté volontaire pour partir sur le front au moment où les Etats-Unis entraient en guerre en avril 1917. Empêché d'intégrer le corps des Marines et l'US Navy en raison de son trop jeune âge (il avait 16 ans à l'époque), il était parvenu à se faire enrôler en trichant sur son âge et envoyer en Europe. Il servit comme ambulancier au Royaume-Uni et en France pour le 1er détachement de blessés de Fort Riley. Après l'Armistice de 1918, il fut chargé de reconduire les prisonniers allemands en Allemagne, où il resta stationné jusqu'en 1920 en terminant au grade de caporal. Durant la Seconde guerre mondiale, il avait été capturé, en tant que civil, par les Japonais aux Philippines. Il était resté prisonnier de guerre pendant plus de trois ans.

Titulaire de la médaille de la victoire de la Première guerre mondiale et de la médaille de l'armée d'occupation, il avait été décoré de la Médaille d'or du mérite des « Vétérans of Foreign Wars ».

En février 1999, il avait reçu la Légion d'honneur du Président de la République Jacques Chirac, lors d'une cérémonie à Paris.

A travers l'hommage rendu à cet homme courageux, patriote et épris d'idéaux, le ministre de la Défense et des Anciens combattants salue la mémoire des quatre millions d'Américains qui se sont battus aux côtés de la France pendant la Première guerre mondiale. Il rend hommage à ces acteurs anonymes de l'indéfectible amitié franco-américaine, une amitié forgée dans les combats communs pour la liberté et la démocratie.

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Jean Lartéguy, de son vrai nom Jean Pierre Lucien Osty, s'était engagé en octobre 1939 (il a alors 19 ans) avant de rejoindre les Forces françaises libres. Il combat dans les commandos d'Afrique. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, ce baroudeur entre dans le journalisme comme reporter de guerre. Aussi vif la main à la plume que téméraire l'arme au poing, il multiplie les articles inspirés par le «terrain» pour le magazine Paris-Presse, et plus tard pour Paris-Match. En 1950, une licence de lettres en poche, on le retrouve de nouveau sous l'uniforme, avec les forces françaises en Corée, en pleine guerre opposant le Nord communiste et le Sud, soutenu par les États-Unis. Il est blessé lors de la bataille de Crèvecoeur. Ses nombreux reportages, qui sont autant de récits de guerre, lui valent la récompense suprême : le prix Albert-Londres, décroché en 1955. «C'était le temps où on vous balançait sur le terrain, aimait-il à se souvenir. Ou vous vous en sortiez, et on vous gardait. Ou on vous virait...»

 

Il y a presque deux ans, Jean Lartéguy avait remis officiellement l'ensemble de ses archives au service historique de la Défense, il était chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre 1939-1945 et des théâtres d'opérations extérieurs (TOE), avec quatre citations.

A partir de 1959, il publie Les centurions" (adapté au cinéma avec Anthony Quinn et Alain Delon), Les mercenaires (700.000 exemplaires vendus), Les prétoriens, Le paravent japonais, Les dieux meurent en Algérie, Les baladins de la Margeride (sur son enfance), Soldats perdus et fous de dieu, Liban, huit jours pour mourir, Mourir pour Jérusalem, Tout homme est une guerre civile et Traquenard, son dernier livre en 1996.

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source: die welt

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Après la mort de trois soldats dans la province troublée de Baghlan.

le président Hamid Karzaï a assuré a la chancelière Angela Merkel , cet "incident regrettable" doit être clarifiée. Un soldat de l'Armée nationale ANA avait tiré vendredi par surprise aux avant-postes sur un groupe de soldats allemands.

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Le suspect, un soldat afghan est mort dans la fusillade avec l'armée. . Peu de temps après l'incident sanglant.

Il a eu six autres blessés, dont deux sont toujours dans un état critique.

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Tous acceptents la souffrance.Ils restent des soldats : Leur plus grande douleur, c'est de renoncer a leur vie d'avant.Leur vie d'action.

 

D'abord il se dit "je vais récupérer " ensuite survient un rebond dépressif ,anxieux au moment ou il se heurte aux infirmières qui l 'essuient et lui rappellent le handicap .Puis normalement ,la troisième phase est celle de l'acceptation.

Le moignon du patient évolue pendant 12  à 18 mois après l'amputation .....la suite de l'article a lire : ici

source : Paris match

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source:Vaughan Smith,Al Jazeera


Le reporter indépendant, Vaughan Smith, a accompagné les équipes médicales d'évacuation (Medevac) du 214e régiment d'aviation l'US Army en Afghanistan. Des images qu'on voit peu souvent sur nos écrans et diffusées par Al Jazeera. Un hélicoptère qui se pose et vient prendre les blessés, souvent graves, qui requièrent une assistance urgente en général après les IED. Ces bombes artisanales frappent les soldats comme les civils ou l'enfant. La technique américaine est ici bien connu du « pick and save ». On ne discute pas. On évacue au plus vite dès que l'hélico est posé. Et on continue les soins dans l'hélico. Soins d'urgence comme réanimation et massage cardiaque. Pour essayer de récupérer une vie.

 

 

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source: Nouvelle Obs

DJIBOUTI

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Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Djibouti à l'appel de l'opposition pour dénoncer le régime du président Ismael Omar Guelleh, un rassemblement sans précédent dans ce pays stratégique de la Corne de l'Afrique. "IOG (Ismaël Omar Guelleh) dehors!", proclamaient les banderoles des manifestants, rassemblés devant le grand stade de la capitale, près du ministère de l'Intérieur, sous la surveillance d'un important dispositif policier. La manifestation a débuté vers 14h00 et a été ponctuée de discours de responsables de l'Union pour l'alternance démocratique (UAD), principale coalition de l'opposition à l'origine du rassemblement.

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La foule, composée essentiellement de jeunes et d'étudiants, était calme et aucun incident n'était à signaler en fin d'après-midi, tandis que plusieurs participants faisaient référence aux révolutions tunisienne et égyptienne. La police a évalué le nombre de manifestants entre 600 à 700, tandis que le président de l'UAD, Ismail Guedi Hared, se félicitait du succès de la mobilisation, avec près de 40.000 personnes. Pour Ismail Guedi Hared, ce "soulèvement populaire pacifique traduit la volonté du peuple djiboutien de voir tomber le régime en place" et vise à "dire non au troisième mandat" du président Guelleh.

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La manifestation, qui se déroule à proximité de la place où le drapeau djiboutien fut hissé le 27 juin 1977, jour de l'indépendance, se poursuivra jusqu'à la chute du régime d'IOG, ont affirmé les responsables de l'opposition. Des milliers de protestataires déterminés restaient rassemblés en début de soirée, cernés par des cordons de gendarmes et de policiers. Ces rassemblements de l'opposition sont rares à Djibouti, petit pays de la Corne de l'Afrique, où le président sortant brigue un troisième mandat à l'élection présidentielle prévue le 8 avril prochain. Des manifestations de lycéens et d'étudiants avaient eu lieu les 5 et 6 février à Djibouti, à l'origine pour protester contre un problème de notation à de récents examens des étudiants en droit. Les manifestants s'étaient alors violemment opposés aux forces de l'ordre, leur rassemblement tournant au fil des heures en une contestation plus globale du régime. Les autorités avaient procédé dans les jours suivant à plusieurs arrestations de militants de l'opposition mais également de défenseurs des droits de l'homme, dont certains ont été inculpés depuis lors de "participation à un mouvement insurrectionnel". Ancien directeur de cabinet du premier président djiboutien Hassan Gouled Haptidon (1977-1999), Omar Guelleh lui avait succédé en 1999 à la tête du pays. Il été le seul candidat à la présidentielle de 2005, l'opposition ayant appelé au boycott. En avril 2010, le parlement a voté une réforme constitutionnelle lui permettant de se représenter pour un troisième mandat. Ancienne colonie française, Djibouti compte moins de 900.000 habitants et est majoritairement peuplé d'Afar et d'Issas. Les pouvoirs sont répartis entre ces groupes par la Constitution. Petit Etat bénéficiant d'une position stratégique hors pair à l'entrée de la mer Rouge, le long d'une des voies maritimes les plus fréquentées au monde, Djibouti abrite la principale base militaire française à l'étranger, une importante base militaire américaine, et depuis 2010 une base japonaise. Le pays est devenu la pièce maîtresse de la lutte antiterroriste dans la Corne de l'Afrique depuis les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.

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source AFP

Le président afghan Hamid Karzaï a confirmé mardi à Kaboul être en discussion avec les États-Unis sur une éventuelle installation de bases américaines permanentes en Afghanistan.

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«Au vu des déclarations de responsables et de sénateurs américains à la presse et d'après ce qu'ils nous ont dit, oui, ils (les Américains) ont ce désir» d'installer des bases permanentes en Afghanistan, a déclaré M. Karzaï lors d'une conférence de presse.

«C'est une question dont nous discutons actuellement avec eux», a-t-il ajouté, insistant sur le fait que la décision finale à ce sujet appartiendrait à l'Afghanistan.

En janvier, l'influente sénatrice américaine Lindsay Graham s'était dite favorable à des bases américaines permanentes en Afghanistan. Le porte-parole de M. Karzaï, Waheed Omar, avait alors indiqué que le sujet n'avait pas été abordé avec Washington.

Interrogée mardi sur les déclarations de M. Karzaï, l'ambassade américaine à Kaboul a renvoyé à la Force internationale de l'Otan en Afghanistan (Isaf), sous commandement américain, qui n'était pas joignable dans l'immédiat.

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Environ 140.000 soldats de l'Isaf, aux deux tiers américains, sont déployés en Afghanistan.

La coalition internationale envisage d'entamer mi-juillet le retrait de ses troupes et le transfert de la responsabilité de la sécurité aux forces afghanes sur l'ensemble du territoire afghan, un processus qu'elle prévoit de terminer d'ici à la fin 2014.

En janvier, le vice-président américain Joe Biden, en visite à Kaboul, avait indiqué que les Etats-Unis resteraient en Afghanistan après 2014 si le gouvernement afghan le leur demandait.

source RIA

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La Russie entend discuter avec Washington et Kaboul d'une éventuelle installation de bases américaines permanentes en Afghanistan, a déclaré vendredi le ministère russe des Affaires étrangères.

"Moscou a pris note de l'information selon laquelle les Etats-Unis et l'Afghanistan mènent des négociations sur le déploiement de bases militaires américaines permanentes sur le territoire afghan", lit-on dans le communiqué.

Selon la diplomatie russe, cette information soulève bien des questions, car tout dernièrement, Kaboul et Washington ont assuré à la communauté internationale que les troupes étrangères se retireraient d'Afghanistan d'ici la fin 2014, soit au terme de leur mission de lutte contre le terrorisme et du transfert de la responsabilité de la sécurité aux forces afghanes sur l'ensemble du pays.

Le président afghan, Hamid Karzaï a annoncé le 8 février dernier aux journalistes que Kaboul et Washington menaient des négociations sur le déploiement de bases militaires US en Afghanistan, expliquant que les Américains avaient besoin de telles bases pour combattre la nébuleuse terroriste Al-Qaïda et le mouvement radical Taliban.

M.Karzaï a toutefois souligné que l'Afghanistan n'accueillerait jamais sur son sol de bases militaires pouvant servir de point de départ à une agression contre ses voisins.

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Où va l'armée française ?

 

L'armée de la troisième puissance militaire mondiale réduite au public d'un stade, fût-il le plus grand de France : le raccourci parle à tout le monde... Et pour ceux qui n'ont pas la mémoire courte, elle évoque bien pis : les 100000 soldats accordés à la Reichswehr de 1918 par le traité de Versailles et les 100000 autres concédés à Vichy, en 1940, aux termes de l'armistice négociée avec le IIIe Reich. La vaine poussière d'armées vaincues tout juste autorisées à maintenir l'ordre. Bref, à tirer sur la foule, en cas de besoin... Mais en aucun cas à s'opposer à l'invasion du territoire.

 

« En 1914, nous disposions de deux mille bataillons d'infanterie, de quoi mettre un fantassin tous les cinquante centimètres entre Nice et Dunkerque.

Aujourd'hui avec nos vingt bataillons, nous avons de quoi en faire autant entre la porte Maillot et celle de la Villette ; 1724 canons français s'opposaient à Verdun à 2200 canons allemands. Il nous en reste aujourd'hui 128, réduction acceptée, je le rappelle, parce qu'elle devait être compensée par la mise en service du LRU [lanceroquettes unitaire, dont l'entrée en service est repoussée à 2014 et qui figure sur la liste des matériels en suspens, si de nouvelles coupes budgétaires devaient être opérées] dès 2012. »

Peut-on en dire autant du sous-officier de 2011, payé 2500 euros par mois pour risquer sa vie en Afghanistan et découvrant qu'en quelques clics, un trader peut gagner pour lui-même plusieurs dizaines de millions et, en prime, déstabiliser des Etats, cependant que la Marseillaise, qu'on ne chante plus guère que dans les stades, honore en priorité les vedettes éructantes du ballon rond, couvertes d'or et de scandale ? La différence avec 1815, et même 1914, c'est que la gloire a déserté l'esprit de sacrifice pour s'investir tout entière dans le monde des affaires, dont fait aussi partie le sport. C'est là sans doute qu'en dernière analyse, il faut chercher la cause du grand malaise de la fonction militaire. Et de quelques larmes secrètes, quand il est demandé à des chefs d'économiser encore, d'économiser toujours, pour que vive la France.

 

 

 

 l'intégralité de l'article de Eric BRANCA: ici

 

site le spectacle du monde

Eric Branca
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source: INA

Depuis la fin de la guerre dAlgérie, 250 000 hommes ont servi sur plus de 160 théâtres d'opérations extérieures. Pourtant, qui se souvient du Tchad, du Liban, de Kolwezi ?

Ecrit et réalisé par Patrick Barbéris

Coproduit avec : lECPAD et LINA

Avec la participation de France Télévisions et Planète

Avec le soutien de la Procirep-Angoa, du CNC, du ministère de la défense et des anciens combattants

Durée : 90 INEDIT

Infrarouge Jeudi 3 mars 2011

Ce film s'interroge sur la disparition de la figure du soldat dans notre société et revient sur les causes de cette disparition, en revisitant cinquante ans d'histoire.

Des soldats de tous rangs qui ont participé à ces opérations et le font encore nous parlent de leur engagement et des transformations majeures qui sont apparues au sein de l'armée depuis la fin guerre d'Algérie.

Ce documentaire dévoile les nouveaux visages de la guerre et notre incapacité à la regarder en face.


Qui se souvient aujourd'hui des 52 morts de l'attentat du Drakar au Liban en 1983 ?

 

Qui se souvient des soldats morts en Bosnie ? Il y en a eu près d'une centaine sans compter les blessés choqués à vie. Que sont devenus leurs camarades ? Quelle attention leur apporte-t-on ? Quelle est leur place dans société française alors qu'ils sont aujourd'hui plusieurs dizaines de milliers et qu'ils nous sont la plupart du temps indifférents ?

Pourquoi nos anciens combattants ont-ils disparu de nos rétroviseurs ? Est-ce simplement un effet statistique ? De quel poids peuvent compter les 400 morts en opérations extérieures au regard des morts de la première guerre mondiale ?

Ces questions, comme ce constat, sont restées à l'état de projet jusqu'à ce que survienne l'embuscade d'Uzbeen qui a coûté la vie à 21 de nos soldats en août 2008 en Afghanistan.

A cette époque, j'ai été frappé par la violence des réactions que cet événement a pu susciter à bien des égards.

Très vite s'est posée la question de la responsabilité des uns et des autres, avec un sentiment général qui transparaissait : celui de notre incapacité à envisager que des jeunes hommes puissent choisir de prendre le risque du sacrifice suprême pour leur pays, comme pour leurs camarades. En l'espace de 24 heures, nos soldats sont passés du statut de héros à celui de victimes. Je voulais comprendre pourquoi.

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source Valeurs actuelles 27 janvier 2011

 

armeemalienne

Le raid du 8 janvier dans le désert malien a été mené aux limites des possibilités,au terme d'une audacieuse manoeuvre tactique et logistique dont peu de pays sont capables.Même si elle n'a pas permis de libérer vivants Antoine de Léocour etVincent Delory,nos deux jeunes otages enlevés le 7 janvier à Niamey, elle prouve aux terroristes et aux États africains la détermination de la France à agir (lire notre article page 39).Menée en France et enAfrique,notre enquête démontre aussi les savoir-faire exceptionnels de l'armée française,malgré la mort malheureuse de Vincent et Antoine, 25 ans tous les deux, assassinés par leurs ravisseurs.Le vendredi 7 janvier, les deux jeunes dînent au Toulousain.Ce "maquis" (restaurant avec une terrasse ouverte) du centre de Niamey est fréquenté par des expatriés.Deux braves"gardiens"de parking,des badauds et quelques mendiants se tiennent en général devant le portail. Pas de garde armé... Les terroristes liés àAqmi (Al-Qaïda auMaghreb islamique) et leurs complices,des"agents dormants"résidant à Niamey, ont repéré leur cible.

la suite a lire : ici

coshelico

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source :ferald jundi

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Plusieurs applications spécifiquement conçues pour les militaires tournent déjà sur iPhone ou iPod, notamment celles destinées aux tireurs d'élite. Ces derniers doivent prendre en considération, au moment du tir, des éléments aussi divers que la température, la pression atmosphérique, la vitesse du vent, etc. Des applications spécialisées, conçues au départ pour des jeux vidéo, ont été ajustées aux conditions opérationnelles et sont proposées avec des supports d'adaptation aux armes et aux munitions utilisées par les snipers.

Ainsi Bullet Flight, que chacun peut acheter sur iTunes, dans une version "light" ou dans sa variante Level M "militaire", la plus complète. Le site précise que la nouvelle version compte 299 nouvelles munitions et trois nouvelles armes de guerre...

apliphone08

                                                       Isnipe

Le capitaine de l'US Army Jonathan J. Springer, actuellement en cours de déploiement pour la troisième fois en Afghanistan, devrait bientôt mettre en vente sur le site marchand d'Apple iTunes l'application Tactical Nav, destinée aux militaires en opération. Conçu à titre personnel par l'officier, avec l'aide de programmeurs, Tactical Nav doit permettre aux soldats de se localiser précisément sur une carte d'état-major, de dresser des cartographies, de photographier des points remarquables sur le champ de bataille, d'en déterminer et d'en transmettre les coordonnées aux unités de soutien (artillerie, soutien médical, etc.).


apliphone

 

 

Dans les interviews qu'il a données récemment sur le terrain à la presse américaine, l'officier ne dit pas comment il va régler les problèmes qui ne manqueront pas de se poser avec un terminal dont on ne peut pas changer les batteries alors qu'elles se déchargent rapidement en cas d'utilisation intense. Ajoutées à sa fragilité dont on voit mal comment elle s'accommoderait des rigueurs du terrain, ces caractéristiques de l'iPhone font qu'il sera encore longtemps davantage utilisé par les soldats comme un moyen personnel que comme un outil réellement opérationnel

Tactique Nav intègre une boussole, une caméra et un système de carte quadrillée de référence pour localiser avec précision des emplacements spécifiques jusqu'à quelques pieds et relayer l'information liée à d'autres utilisateurs

 

 

apliphone04

Et parfois aussi il sert a tout  autre chose......

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