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Prompts à admirer les pratiques patriotiques de nos voisins anglo-saxons ou canadiens, nous aimerions que notre presse nationale se fasse pareillement l'écho de l'hommage rendu à nos morts en opérations. Est-ce à dire que l'institution militaire fait défaut ? Cet article décrit les dispositions réglementaires en vigueur et en tire quelques réflexions.

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Comme en témoignent de nombreux documentaires, le cérémonial qui rassemble autour du mort ses camarades de combat est empreint d'une émotion et d'une dignité propres à la fraternité d'armes ; elles s'expriment naturellement de façons diverses selon les contraintes de l'environnement opérationnel. Là, porte rarement la critique. Incontestablement plus présente dans la vie de nos armées, et plus particulièrement de l'armée de terre, la mort au combat a nécessité la mise en oeuvre (Bouaké, 2004 : Côte d'Ivoire ; puis Uzbeen, 2008 : Afghanistan) d'une procédure, appelée « plan Hommage » qui entend répondre aux besoins profonds des trois communautés concernées : la famille de sang, la famille de cœur - militaire - et la Nation. Une fois la dépouille du soldat mort au combat rapatriée, un cérémonial très précis coordonné par le Gouverneur militaire de Paris permet de donner à cet instant douloureux toute la solennité, la dignité et même l'intimité qui s'imposent.

 

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  Un documentaire inédit de 52 minutes réalisé par Fred Hissbach. Pendant cinq mois, à l'insu de leur hiérarchie, deux soldats, Maxime et Tony, ont filmé leur quotidien en Afghanistan. Des images crues, parfois choquantes. Le visage de la Guerre.

J'aimerais que ça soit un jeu, pouvoir éteindre la console juste après, mais souvent ça finit mal », commente Maxime. Il est l'un des soldats qui ont tourné les images reprises par le réalisateur Fred Hissbach dans un documentaire saisissant, « C'est pas le pied la guerre ?»*. En 2008, Maxime et Tony, âgés de 22 et 24 ans, se sont engagés dans les troupes françaises en Afghanistan pour « vivre l'aventure ».


Pendant cinq mois, les deux soldats filment leur quotidien à l'insu de leurs chefs. La même année, le réalisateur Fred Hissbach part sur place tourner un documentaire sur le 8e Rpima, et noue des contacts avec plusieurs engagés, dont Tony et Maxime, qui lui montreront leurs vidéos sur leurs ordinateurs portables. Mais il faudra attendre que les garçons quittent l'armée pour que leurs images puissent être diffusées.

 

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«Nous ne sommes pas contents que les forces américaines soient dans notre pays». «Mais nous ne savons pas ce qui va se passer quand elles vont partir.»

Les Afghans inquiets face à l'avenir

L'été a été difficile en Afghanistan. Les troupes étrangères ont commencé à quitter le pays. Le demi-frère du président afghan a été assassiné. Des kamikazes continuent de tuer des responsables gouvernementaux. Les talibans ont attaqué un hélicoptère militaire, tuant 30 Américains. Le nombre de victimes civiles est en hausse et plusieurs Afghans craignent que leur pays ne plonge dans la guerre civile quand les troupes étrangères seront parties.

Chaque fois qu'ils en ont l'occasion, les responsables américains tentent de rassurer les Afghans et de les convaincre que les États-Unis n'abandonneront pas leur pays. «Il n'y aura pas de ruée vers la sortie», a ainsi déclaré le nouvel ambassadeur américain en Afghanistan, Ryan Cocker, lors de son arrivée à Kaboul il y a quelques semaines.

La décision du président américain Barack Obama de retirer 10 000 soldats d'Afghanistan avant décembre, puis 23 000 autres l'année prochaine a alimenté les craintes des Afghans convaincus que l'engagement de la communauté internationale tire à sa fin. Les Afghans ne sont pas aussi optimistes que les autorités américaines quant à la capacité de leur police et de leur armée de prendre en charge la sécurité du pays d'ici 2014.

D'autres craignent que l'économie afghane ne s'effondre si les troupes étrangères s'en vont et si les donateurs sont moins généreux. Selon la Banque mondiale, quelque 97% du produit national brut de l'Afghanistan provient des dépenses liées aux forces étrangères et des dons internationaux.

Le Canada a mis fin à sa mission de combat en Afghanistan en juillet, après un engagement de près de dix ans. Au total, 157 soldats canadiens ont été tués dans la mission afghane. Le Canada restera présent dans le pays afin d'y jouer un rôle de formation.


Les Afghans craignent le départ des troupes internationales, malgré l'épuisement de la guerre et leur fierté blessée par la présence de soldats étrangers dans leur pays.

«Même les gens qui ont des postes importants dans le gouvernement ou qui possèdent de grandes entreprises en Afghanistan quittent le pays ou transfèrent leurs actifs à l'étranger», affirme Ahmad Khalid Majidyar, un chercheur de l'American Enterprise Institute, à Washington, qui forme les militaires américains sur le terrorisme et la culture afghane.

Syed Salahuddin Agha, un ancien enseignant de Kandahar âgé de 64 ans, pense que les troupes étrangères n'auraient jamais dû intervenir en Afghanistan.

«Tous les gens qui voulaient les voir ici seront maintenant dans la ligne de mire des talibans, parce que les talibans sont devenus plus forts que jamais. Maintenant, nous devrons faire face aux conséquences», a-t-il dit. «La plupart des gens se sentent trahis et utilisés par les étrangers.»

Nombreux sont les Afghans qui estiment que leurs forces de sécurité ne sont pas prêtes à faire face à la situation. D'autres pensent qu'en 2014, après la fin de la mission internationale, une guerre civile éclatera et que les forces de l'ordre afghanes se diviseront selon des lignes ethniques.

 

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Le plus haut responsable militaire américain, l'amiral Mike Mullen, a brutalement accusé jeudi l'allié pakistanais d'exporter la violence en Afghanistan, désignant devant le Sénat les insurgés afghans du réseau Haqqani comme le bras armé des services secrets pakistanais.

Devant les sénateurs de la commission de la Défense, le chef d'état-major interarmées ne s'est pas embarrassé de langage diplomatique, signe de l'exaspération de Washington vis-à-vis du double jeu joué selon les Américains par le Pakistan, pourtant considéré comme un allié dans la lutte contre le terrorisme.

"En choisissant d'utiliser l'extrémisme violent comme instrument politique, le gouvernement du Pakistan -- et plus spécifiquement l'armée pakistanaise et l'ISI (les puissants services secrets pakistanais, ndlr) -- compromet non seulement la perspective d'un partenariat stratégique avec nous mais aussi l'opportunité pour le Pakistan d'être une nation respectée jouissant d'une influence régionale légitime", a-t-il asséné.

Selon lui, "le réseau Haqqani agit comme le véritable bras de l'ISI pakistanais", a déclaré l'amiral Mullen, qui quittera ses fonctions fin septembre.

Les responsables de l'administration Obama ont multiplié ces derniers jours les mises en cause publiques d'Islamabad, laissant planer la menace de "mesures appropriées".

"S'ils continuent de tuer nos troupes, nous ne resterons pas les bras croisés à regarder", a encore prévenu le haut gradé à propos du réseau Haqqani.

Ce groupe est très actif dans l'est de l'Afghanistan, l'une des zones où l'insurrection est la plus virulente. Il utilise comme base arrière les zones tribales du Waziristan dans le Nord-Ouest du Pakistan où il est l'une des cibles des attaques de drones, un programme secret de la CIA.

Le réseau Haqqani est accusé par Washington d'être à l'origine de l'attaque la semaine passée contre le quartier général de l'Otan et l'ambassade américaine à Kaboul et de l'attentat au camion piégé contre une base de l'Otan qui avait fait plus de 100 blessés, dont 77 soldats américains.

 

L'amiral Mullen a réitéré cette accusation jeudi, ajoutant qu'ils avaient bénéficié du "soutien de l'ISI".

Le gouvernement pakistanais a nié jeudi la présence sur son sol du réseau Haqqani tout en promettant aux Américains de prendre les mesures nécessaires s'ils lui fournissent la preuve du contraire.

Malgré les milliards de dollars d'aide américaine au Pakistan, les Etats-Unis reprochent depuis 2001 à Islamabad de ne pas agir avec assez de détermination contre les groupes terroristes et insurgés installés sur son territoire.

La situation entre les deux pays est au plus bas depuis l'opération commando américaine menée début mai au Pakistan pour éliminer Oussama Ben Laden.

Pour l'amiral Mullen, le Pakistan commet une erreur s'il croit préserver un équilibre régional face à l'Inde en soutenant Haqqani: "en exportant la violence, le Pakistan sape sa sécurité intérieure et sa position dans la région. Il mine sa crédibilité internationale et menace son bien-être économique".

Mais malgré les problèmes posés par le groupe Haqqani, "la situation sur le plan de la sécurité s'améliore continuellement" en Afghanistan, selon lui.

"Le niveau général de violence en Afghanistan diminue", a de son côté affirmé le secrétaire à la Défense Leon Panetta, qui voit dans les spectaculaires attaques et assassinats, dont celui mardi de l'ex-président Burhanuddin Rabbani, un "signe de faiblesse" des talibans.

"Comme les talibans ont perdu le contrôle de territoires l'an dernier", les insurgés mènent moins d'attaques d'envergure contre les troupes de la coalition mais se focalisent plus sur les "attaques qui font la Une des journaux" afin de provoquer un "impact psychologique" maximal, a estimé le ministre.

© 2011 AFP

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Depuis le 15 septembre 2011, le dispositif militaire français a assuré plus de 140 sorties, dont 70% sont des missions offensives. La France assure environ un quart des sorties d'attaque au sol.


Entre le 15 septembre 2011, 6h00, et le 22 septembre 2011, 6h00, la France a réalisé :

- 96 sorties d'attaque au sol (Rafale Air , Mirage 2000-D, Mirage 2000-N et Mirage F1) ;

- 31 sorties de reconnaissance (Mirage F1 CR, ATL 2, drone Harfang ) ;

- 7 sorties de contrôle aérien (E3F) ;

- 9 sorties de ravitaillement (C135 FR) ;

En outre, depuis le 15 septembre, une vingtaine d'objectifs ont été neutralisés par les avions de combat :

- une dizaine de véhicules militaires et d'armements (véhicules légers armés, lance-roquette multiples) dans la région de Syrte, Bani Walid, Waddan et Sebbah ;

- une dizaine de bâtiments de commandement et de stockage de matériel dans les régions de Syrte, Bani Walid, Waddan et Shebbah.

La semaine a été marquée par le désengagement du BPC Mistral le 18 septembre, au terme de sa relève par le BPC Tonnerre .

 

 

Sources : EMA

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Les représentants des 28 pays-membres de l'Otan ont décidé lors d'une réunion mercredi à Bruxelles de prolonger de trois mois l'opération militaire en Libye, rapportent les médias internationaux citant une source diplomatique.

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L'aviation de l'Alliance poursuivra les frappes contre les forces loyales à l'ex-leader libyen Mouammar Kadhafi, tandis que les navires otaniens continueront à assurer l'embargo sur les ventes des armes au pays.

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Lire la suite : Libye ,3  Mois de Plus

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Meyer était a environ un mile, mais il pouvait entendre l'attaque à la radio. Il a demandé à plusieurs reprises a ses supérieurs l' approbation d'aller aider   l'unité prise dans un accrochage , mais cela a été refusé à plusieurs reprises, a déclaré Obama.


Le jeune caporal Meyer dakota et le sergent. Juan Rodriguez Chavez ont grimpé dans un Humvee - Chavez au volant  et Meyer dans la tourelle - et se sont  dirigés dans la "killing  zone », comme Obama l'a appelé.

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Lire la suite : la  3 eme "Medal of Honnor" pour un Marine

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Le soldat, dernier rempart de la société ?

Le général (2S) Bernard Messana interpelle le politique et le citoyen sur ce thème à travers une démonstration hardie  servie par une plume agile et acérée.

Un constat clair

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Il y a d'abord eu, chez nous, ce choc des élections cantonales quand, affichant ainsi leur rejet du système politique, 56% des Français se sont abstenus de voter. Etait-ce là une surprise ? Pas vraiment. Tous les analystes nous affirmaient déjà que 60% du corps électoral ne votait plus ou s'était réfugié dans le vote dit protestataire, extrémiste de droite ou de gauche, ou vert insoluble.

On pouvait donc partager les 40% restant en une forte minorité,- un peu moins de 20% -, et une faible majorité,- un peu plus de 20% -, et comprendre ainsi pourquoi le parti dominant avait systématiquement face à lui 80% de mécontents.

Alors, si la démocratie est bien cette forme de gouvernance où le pouvoir appartient au peuple, force est de constater que nous n'en sommes plus là. Dans notre régime actuel, le pouvoir appartient à une classe restreinte, aux couleurs d'un des deux « grands » partis. L'autre « grand » attend son tour en promettant de défaire, ce que l' « un » prétend avoir fait, et environ 60% des citoyens, exclus de ce duel stérile, remâchent une frustration qui, peu à peu, devient colère.

« Ami, entends-tu... ».

Et puis, à la mi-mai, - ces mois de mai sont redoutables !-, il y a eu le mouvement espagnol des « indignados ». Ceux-là répètent inlassablement que le régime politique censé les gouverner, morne et incompétente alternance d'une droite et d'une gauche s'asseyant à tour de rôle à la table du banquet, et s'empiffrant en hâte, ne les représente plus.

Les « indignados » aspirent à être entendus...Ils font ailleurs des émules, en France, en Grèce. N'est-ce pas d'ailleurs de France qu'est venu le slogan, « indignez-vous ! »...

 

Lire la suite : « Ami, l'entends-tu... »

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Son public le connaît toujours sous son nom de scène: Deso Dogg. Ancien porte-drapeau du «gangsta rap» allemand, Denis Mamadou Cuspert a trouvé sa repentance pour ses années de mauvais garçon de la scène hip-hop dans l'islamisme radical.

Désormais, il se fait appeler Abou Malik et enflamme le cyberespace allemand avec ses chants militants et ses prêches prônant le djihad. Les autorités allemandes se disent alarmées par l'influence néfaste qu'exerce l'ex-rappeur, qui s'est imposé en quelques mois comme l'une des figures des réseaux islamistes allemands.

Lors de son procès, qui s'est ouvert mercredi, Arid Uka, un islamiste kosovar élevé en Allemagne, dit avoir été influencé par une vidéo postée sur la page Facebook d'Abou Malik. Celle-ci montrait des femmes musulmanes violées par des hommes en uniforme militaire américain. Uka, qui a ouvert le feu sur un bus de l'US Army à l'aéroport de Francfort le 2 mars, tuant deux soldats américains et en blessant trois autres, a aussi dit avoir écouté des nasheeds, des chants militants islamistes, sur son iPod sur le chemin de l'aéroport. «Ça m'a mis très en colère», a-t-il expliqué. Les soldats américains rentraient d'une mission en Afghanistan.

Abou Malik, qui anone les paroles de ses chants appelant à la guerre sainte dans un mélange d'allemand et d'arabe, est devenu le plus populaire des chanteurs de nasheeds allemands. Dans une interview au New York Times, il a soutenu l'attaque de Francfort, premier attentat islamiste commis sur le sol allemand. «Le frère n'a pas tué de civils», se justifie Denis Mamadou Cuspert, alias Abou Malik. «Il a tué des soldats qui étaient en route pour assassiner des musulmans», ajoute-t-il en avouant son admiration pour le mollah Omar.

Un «tube» dédié à Ben Laden

Sous l'influence de Pierre Vogel, un ancien boxeur professionnel devenu le prêcheur salafiste le plus influent outre-Rhin, Cuspert avait renoncé à sa carrière de rappeur en 2010. Mais il n'a pas perdu le goût de la provocation. Entré dans le groupe islamiste radical Die Wahre Religion («la vraie religion»), il continue d'exercer ses talents dans des vidéos postées sur YouTube au service du djihad. Cet été, il s'est fait remarquer avec son «tube» dédié à Oussama Ben Laden. Les autorités allemandes ont confisqué son passeport en juillet, pour l'empêcher de se rendre au Pakistan. «Nous gardons un œil sur lui. Nous devons contrer la radicalisation des milieux islamistes», affirme la police de Rhénanie-Palatinat, où Die Wahre Religion est très actif.

Cependant, les autorités s'avouent quelque peu désemparées face aux islamistes radicaux. C'est pourquoi la police est allée chercher dans son passé de «rappeur gangster» pour engager des poursuites contre lui. Né d'un père ghanéen et d'une mère allemande, Deso Dogg était membre d'un gang berlinois dans les années 1990. Il a effectué plusieurs séjours en prison, notamment pour trafic de drogue, avant de se lancer dans le rap. Dans l'un de ses clips vidéo, il apparaît avec un pistolet. La police, qui a retrouvé à son domicile des stocks de munitions, vient de le faire condamner pour détention d'armes illégale.

source le figaro

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Respects a tous les personnels des services de santé


reportage sante mai de 2008(France 5)
7 minutes pour une vie - Avec l'armée
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La série se focalise sur les aventures, les joies, les attermoiements et les doutes du personnel d'un hôpital militaire basé à Kandahar, en Afghanistan en 2006

Dans les années 70 et 80, China Beach et, surtout, Mash, ont rendu populaires les médecins militaires, infirmières, chirurgiens et autres docteurs de l'extrême, capables d'opérer sous les bombes sans perdre le sens de l'humour.

Mash

Avec Combat Hospital, série canadienne lancée sur ABC, la médecine reprend le chemin de la guerre, cette fois-ci, actualité internationale oblige, à Kandahar (Afghanistan), « l'endroit le plus dangereux sur Terre », nous assène-t-on. Le Dr Rebecca Gordon (Michelle Borth, remarquée dans Tell Me You Love Me), jeune chirurgienne de Miami, débarque sur sa base canadienne épuisée... et convaincue d'être enceinte.

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