( 1 Vote ) 

 

 

À travers l'histoire touchante d'une femme médecin militaire envoyée en Afghanistan et confrontée à des choix cornéliens, cette fiction entremêle habilement enjeux politiques et drame intime, rendant compte avec un étonnant réalisme de la situation ambiguë des militaires français sur place.


Médecin dans une base militaire française en Afghanistan, Nadia, la trentaine, travaille pour la coalition des grandes puissances occidentales. Elle est envoyée en mission dans un village occupant une position stratégique, mais son convoi tombe dans une embuscade. Nadia et un soldat d'origine tadjik sont capturés par un groupe de talibans dirigé par Abdullah, un Pakistanais. Le soldat est égorgé tandis que Nadia est miraculeusement relâchée grâce à l'intervention d'un chef pachtoun, Hassan Walli, qu'elle a connu dix ans plus tôt à Paris. Utilisant ce lien d'amitié, le colonel Leroy, de la DGSE, demande à la jeune femme de se rapprocher de Hassan, perçu comme un modéré hostile à al-Qaida...

vendredi 25 novembre 20h40 Téléfilm de guerreinédit

durée : 1h35 année : 2011

réalisateur : Miguel Courtois

avec : Marie-Josée Croze (Nadia) , David Kammenos (Hassan)

HD


Le producteur Quentin Raspail a eu l'idée du projet en août 2008, lorsque dix soldats français de la force de l'Otan ont été tués dans une embuscade près de Kaboul. « Cet événement m'a fait réfléchir sur notre présence militaire en Afghanistan : que signifie mourir pour la France là-bas ? Quel rapport entretiennent les civils et nos représentants armés ? Comment aider à reconstruire un pays tout en faisant la guerre à une partie de sa population ? »

Ces questions ont nourri le scénario écrit à quatre mains par Didier Lacoste et Pauline Rocafull, avec la collaboration de Quentin Raspail. Les scénaristes sont aussi allés sur la base de Tora, ont discuté avec les militaires, rencontré des journalistes spécialisés, un chef de guerre afghan...

« Le film traduit la complexité de la situation sur le terrain »

« Certains représentants de la Grande Muette souffrent de ne pouvoir s'exprimer. S'ils ne discutent pas les missions qu'on leur confie, leurs réflexions politiques, leurs doutes, ont nourri notre travail », précise Didier Lacoste, qui assure n'avoir pas subi de censure de la part du ministère de la défense.

La Délégation à l'information et à la communication de la défense (Dicod) et le Service d'information et de relations publiques de l'armée de terre (Sirpa Terre) ont lu le scénario avant de fournir une aide active au tournage de certaines scènes dans le centre d'entraînement de Canjuers (Var), qui reproduit à l'identique les camps implantés dans les vallées afghanes (d'autres séquences ont été tournées au Tadjikistan et des vues d'extérieur, sans acteurs, à Kaboul).

« Équipement, gestuelle, vocabulaire... Je les ai conseillés pour coller au plus près de la réalité », indique le commandant Pierre Ansseau, satisfait que « le film traduise la complexité de la situation sur le terrain et pose plus de questions qu'il n'apporte de réponses ».

Corruption du gouvernement Karzaï, poids des traditions culturelles, manipulation et cynisme des autorités françaises prêtes à « lâcher » un allié devenu encombrant... Le Piège afghan, porté par l'interprétation sans faute de Marie-Josée Croze, Samuel Le Bihan et David Kammenos (bluffant en chef pachtoune), n'épargne personne.

source la croix

( 1 Vote ) 

 

Le lieutenant-colonel Jerry Brooks, qui effectue sa troisième mission en Irak, n'est pas un militaire comme les autres: il est l'historiographe en chef de l'armée américaine dans ce pays.

Cet officier de 48 ans collecte des milliers de documents et écrit l'épilogue de l'histoire sanglante de cette armée, venue en 2003 pour renverser le tyran Saddam Hussein, avant de se retrouver comme force occupante engagée dans une guerre sans merci contre les insurgés, et qui dans un mois quittera définitivement ce pays.

Il y a eu durant ces huit ans jusqu'à seize historiens militaires, mais aujourd'hui ils ne sont plus que deux, confie-t-il à l'AFP.

"Le résultat, classifié pendant dix ans, sera publié dans des bulletins quatre fois par an et servira pour les livres d'histoire, pas pour mes fils plutôt pour mes petits-fils", assure ce militaire.

Il a aussi amassé une importante quantité de documents "qui serviront à alimenter les études dans les écoles militaires sur ce qui se passait en Irak durant cette période".

Selon lui, il y a trois leçons stratégiques à tirer de la guerre d'Irak: la nécessité de toujours bâtir des plans alternatifs, l'obligation d'avoir suffisamment de personnel et enfin l'importance de réussir à faire entendre son message.

"Vous devez faire des plans, des plans, toujours des plans. Il faut en permanence être prêt à toutes les éventualités", explique-t-il.

Ensuite, ajoute-t-il, "il faut être sûr d'avoir suffisamment d'hommes pour exécuter les missions et en avoir assez pour répondre à des situations inattendues". Enfin "l'information est une arme. Vous devez être capable de délivrer votre message avant votre ennemi".

Durant une récente visite pour les journalistes au Camp Victory, où était détenu Saddam Hussein et où se trouvait le quartier général de l'armée américaine, l'officier supérieur a aussi bien parlé de la bataille de Qadissiya entre les Arabes et les Perses sassanides au VIIe siècle que des vêtements portés par l'ancien dictateur quand il jardinait en prison.


Né à Pensacola (Floride), Jerry Brooks a obtenu une licence d'histoire à l'Institut militaire de Virginie en 1985 puis a été nommé en 1986 sous-lieutenant dans les blindés. Placé dans le cadre de réserve en 1988, il a décroché deux ans plus tard une maîtrise d'histoire à James Madison University en Virginie.

 

Lire la suite : La délicate mission de l'historiographe de l'armée américaine en Irak

( 1 Vote ) 

Commémoration du 11 novembre en opérations extérieures

Cette année, selon la volonté du président de la République, cette journée fut un hommage aux soldats qui ont donné leur vie au cours de la première Guerre mondiale ainsi qu'à tous les soldats morts pour la France, pour la défense de la patrie ou lors des opérations extérieures, en 2011 particulièrement.


Sur la base aérienne de La Sude en Crête, les derniers militaires français engagés dans l'opération Harmattan ont été réunis au cours d'une cérémonie présidée par le lieutenant-colonel Bernard Girard.

Au Kosovo, les français du camp de Novo Selo ont commémoré le 11 novembre aux côtés des soldats allemands, américains, autrichiens, danois et italiens.

En Côte d'Ivoire, sur le camp de Port Boët, le colonel Daniel Jaunin, commandant la force Licorne, a présidé la cérémonie en présence de Son excellence Jean-Marc Simon, ambassadeur de France en Côte d'Ivoire et du général Soumaïla Bakayoko, chef d'état-major général des armées de la République de Côte d'Ivoire.

Au Liban, le général de la Maisonneuve, chef d'état-major de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) a présidé la cérémonie qui s'est tenue à Naqoura, devant le monument portant le nom des soldats français tués dans les rangs de la FINUL.

Au Tchad, les anciens combattants tchadiens étaient les invités d'honneur de la journée. Les troupes sous les armes étaient constituées de détachements des Eléments français au Tchad (EFT) et de la Garde nomade tchadienne. Les autorités militaires tchadiennes et françaises ont notamment déposé une gerbe au carré militaire du cimetière de Farcha.

En Afghanistan, les unités françaises déployées sur les différentes emprises ont également rendu hommage aux morts de la Grande Guerre. Sur le camp de Warehouse, à Kaboul, une cérémonie était présidée par le général de Bavinchove, chef d'état-major de l'ISAF (Force internationale d'assistance à la sécurité). Sur la base de Tora, le Battle group Quinze Deux a commémoré le sacrifice des Poilus et rendu hommage à ses camarades disparus. A Nijrab, la Task Force La Fayette a elle aussi rendu hommage à ses anciens de 1918 et aux morts en opérations extérieures, tout comme les aviateurs du détachement air de Kandahar et les équipages du bataillon d'hélicoptères de Kaboul. Enfin, les militaires déployés sur les camps des pays alliés ont eux aussi commémoré l'armistice. Ce fut en particulier le cas à Bagram, où la célébration du « Memorial Day » a permis aux soldats français de s'associer à l'hommage rendu par la nation américaine à tous ses vétérans.

Ainsi, là où sont engagées nos armées, le souvenir du sacrifice des anciens et des frères d'armes fut ravivé par ceux qui portent les armes de la France.source  ema

( 1 Vote ) 

 

Le jour ou fleurissent les Coquelicots

Au Champ d'honneur*

(Adaptation du poème: In Flanders Fields,

de John McCrae)

Au champ d'honneur, les coquelicots

Sont parsemés de lot en lot

Auprès des croix; et dans l'espace

Les alouettes devenues lasses

Mêlent leurs chants au sifflement

Des obusiers.

Nous sommes morts

Nous qui songions la veille encor'

À nos parents, à nos amis,

C'est nous qui reposons ici

Au champ d'honneur.

À vous jeunes désabusés

À vous de porter l'oriflamme

Et de garder au fond de l'âme

Le goût de vivre en liberté.

Acceptez le défi, sinon

Les coquelicots se faneront

Au champ d'honneur.

*Adaptation française du major Jean Pariseau


( 1 Vote ) 

 

Ancien élève du Prytanée national militaire de La Flèche, né à Caen en 1984, le capitaine Thomas Gauvin a trouvé la mort le 13 juillet dernier lors d'une attaque suicide dans la vallée de la Kapisa, en Afghanistan.

Quatre de ses hommes ont également été tués lors de cette attaque, et quatre autres blessés.

Ce vendredi 11 novembre, une plaque portant son nom a été dévoilée sous le péristyle du quartier Henri-IV. Le dernier brution - surnom donné aux élèves du Prytanée - tombé au champ d'honneur était le capitaine Thomas, tué au Liban en 1983.

Ces deux officiers faisaient partie de la même unité, le 1er RCP, régiment de chasseurs parachutistes, basé à Pamiers.

source  le maine libre

( 1 Vote ) 

Pour honorer la mémoire des quatre camarades marines tués en Irak et  montrer du respect à tous les militaires envoyés à l'étranger, un petit groupe  déterminé a péniblement grimpé sur  une colline escarpée à Camp Pendleton, le vendredi matin alors que la nation observait la Journée des anciens combattants.

Précisément la date et l'heure où la Première Guerre mondiale a pris fin officiellement, donnant naissance à jour de l'Armistice - le précurseur de la Journée des anciens combattants - le groupe a érigé une croix de 13 pieds. La croix a remplacé une mise sur la colline en 2003 par les Marines avant leur déploiement en Irak. Il fut détruit par un feu de broussailles.

Les quatre Marines faisaient partie du 2e Bataillon, 1er Régiment de Marines. Les 2 / 1 a été un élément de premier plan dans la bataille de Fallouja au début de 2004.

 

Lire la suite : Camp Pendleton le 11 Novembre 2011

( 1 Vote ) 

Dans son livre choc, "Un silence d'État" (Soteca-Belin), l'historien Jean-Jacques Jordi dévoile des centaines d'archives interdites d'accès. Cinquante ans après, celles-ci remettent en question la vision à sens unique propagée jusque-là sur la guerre d'Algérie.

> C'est un historien réputé, plutôt classé à gauche, qui a eu la lourde tâche de "fouiller" les archives inédites de la guerre d'Al­gérie. Docteur en his­toire, enseignant, no­tamment à l'École des hautes études en sciences sociales, auteur d'une dizaine d'ouvrages et de plusieurs documentaires télévisés consacrés à ce conflit (France 2, France 3, M6), Jean-Jacques Jordi, 56 ans, n'a rien d'un "extrémiste" – d'une cause ou d'une autre. « Mon travail est scientifique, dit-il. Je ne suis ni un juge qui décide "c'est juste ou injuste" ni un religieux qui décrète "c'est bon ou mauvais". » Raison pour laquelle Re­naud Bachy, président de la Mission in­terministérielle aux rapatriés, l'a ex­ceptionnellement autorisé il y a quatre ans, au nom du gouvernement, à plonger dans ces archives, normalement interdites d'accès pour une période allant de soixante à cent ans.

> Centre historique des Archives nationales, Service historique de la Défense, Service central des rapatriés, Archives nationales d'outre-mer, Centre des archives contemporaines, Centre des archives diplomatiques, Comité international de la Croix-Rouge : en tout, ce sont près de 12 000 documents administratifs classés "très secret", "secret" et "secret confidentiel" que Jean-Jacques Jordi a pu consulter et photographier. Ras­sem­blés (pour partie) dans son livre, Un si­lence d'État, dont Va­leurs ac­tuelles pu­blie des ex­traits en ex­clusivité, le résultat de son en­quête et les documents qu'il porte au­jourd'hui à la connaissance du public sont absolument stupéfiants. Pourtant spécialiste de la question, lui-même le reconnaît : « Jamais, confie-t-il, je n'aurais imaginé découvrir de tels faits. »

> Depuis près de cinquante ans, l'histoire de la guerre d'Algérie s'écrit en noir et blanc : d'un côté, les "gentils" (le FLN et les partisans de l'indépendance), de l'autre, les "méchants" (les pieds-noirs et les défenseurs de l'Algérie française). Les travaux de Jean-Jacques Jordi remettent totalement en question ce manichéisme mémoriel. Non pour ré­habiliter une violence par rapport à une autre, mais pour rétablir une vérité autrement plus complexe que celle propagée de­puis 1962. « Jusque-là, la thèse officielle était que l'OAS, refusant les accords d'Évian, avait plongé l'Algérie dans la terreur, légitimant la riposte du FLN, rap­pelle l'auteur. Cela n'est qu'en partie vrai. D'abord parce que le terrorisme FLN a précédé celui de l'OAS, mais aussi parce qu'il a été beaucoup plus meurtrier. Ensuite, sous pré­texte de lutte anti-OAS, le FLN et l'ALN (Armée de libération nationale) se sont essentiellement livrés à des exactions dirigées non contre les activistes, mais de manière aveugle contre l'ensemble de la population – l'instauration de ce climat de terreur ayant pour but avoué de précipiter le départ des Français, y com­pris après le 19 mars (cessez-le-feu) et le 5 juillet (indépendance). »

> Documents parfois terribles à l'appui, Jean-Jacques Jordi révèle une "autre" guerre d'Algérie, où les "héros de l'indépendance" – tout du moins une par­tie d'entre eux – livrent la face obscure de leurs méthodes : enlèvements, viols, tortures, actes de barbarie... Jusqu'à ces « quarante Européens séquestrés » jus­qu'à ce que mort s'ensuive pour servir de « donneurs de sang » aux combattants FLN ! Ces faits, démontre l'ouvrage, étaient connus, et même soutenus, par les dirigeants algériens de l'époque. Aussi incroyable que cela puisse paraître, écrit-il, « il n'y eut aucune poursuite judiciaire de la part de la justice algérienne contre ceux qui s'étaient rendus coupables d'exactions ou de meurtres ».

> Mais les archives secrètes n'épargnent pas non plus les autorités françaises et le rôle des "barbouzes" envoyés sur place : oui, des Français ont torturé d'autres Français ; oui, des listes de militants supposés de l'OAS ont été transmises aux insurgés ; oui, des ordres ont été donnés afin de ne pas intervenir, con­damnant à mort des centaines d'hommes, de femmes et d'enfants... Au-delà de la passivité, une véritable complicité. Comment qualifier autrement l'attitude – révélée par un rap­port – de ces gendarmes mobiles ren­dant à ses bourreaux FLN un ressortissant français « torturé à l'électricité et battu » qui était parvenu à s'enfuir et à se réfugier dans leur cantonnement ?

> « Que la raison d'État – des deux côtés de la Méditerranée – l'ait emporté sur quelques milliers de vie, cela n'est pas propre à la guerre d'Algérie, au moins faut-il le reconnaître », écrit Jean-Jacques Jordi. Pas plus que les événements ne le furent, la repentance ne peut pas, et ne doit pas, être à sens unique. Cinquante ans après, le moment est sans doute venu pour l'Algérie, comme pour la France, de reconnaître ce que fut – aussi – ce conflit : le martyre des pieds-noirs et des harkis. Nicolas Sarkozy s'y était engagé en 2007 à Toulon lors de sa campagne électorale. Osera-t-il, à l'occasion des cérémonies du cinquantenaire, braver le "politiquement correct", aujourd'hui clairement désavoué, et tenir sa promesse ? Arnaud Folch

sources

le jeudi, 03/11/2011( valeurs actuelles)

( 1 Vote ) 

Et puisque vous avez décidé d'oublier les héros Morts pour La France. essayez de ne pas oublier une petite fille de 4 ans, elle est là ,et vous regarde de ses grands yeux..


Durant 18 mois, vos deux collègues journalistes sont restés otages en Afghanistan. Vous leur avez apporté aide et soutien. A leur retour, ils vous ont manifesté leur reconnaissance, comme ils ont remercié les autorités de notre pays et salué l'engagement des services pour obtenir leur libération ; Et vous avez organisé de grandes fêtes pour les célébrer Vous en avez fait des héros .Des héros...qui ignoraient que la guerre est dangereuse. Des héros...qui ont prétendu que personne ne les avait prévenus du danger Mais ça, ils ne pouvaient pas le savoir...car ils ne voulaient pas le savoir.

Et vous ? saviez vous que des héros sont morts ? Morts pour La France.

Non, vous ne le saviez pas, car vous ne vouliez pas le savoir. Le mercredi 29 juin, dans l'indifférence des journalistes, le corps du parachutiste Cyrille Hugodot est revenu en France.Vous ne le saviez pas ? Non, car vous ne vouliez pas le savoir.

C'est le 25 que Cyrille est mort à Kaboul, des suites de ses blessures reçues lors de l'engagement du 1er Régiment de Chasseurs parachutistes pour sécuriser le rapatriement de vos deux journalistes. Vous ne le saviez pas ? Non, car vous ne vouliez pas le savoir. Peu avant un autre parachutiste Florian Morillon était mort dans les mêmes conditions.

Vous ne le saviez pas ? Non,car vous ne vouliez pas le savoir.Vous préferiez faire la fête et ça.vous nous l'avez fait savoir.Cyrille Hugodot était papa d'une petite fille agée de 4 ans...vous ne le saviez pas ? Non puisque vous ne voulez pas le savoir.

Au cours des cérémonies officielles aux Invalides puis à Pamiers, comme lors de l'office religieux à Abondant (Eure-et-Loir), une petite fille de 4 ans se demandait ce qui était arrivé à son papa... Peut être, auriez vous pu le savoir... mais vous ne vouliez pas le savoir... Une petite fille de 4ans ,à qui son papa manquera plus de 18 mois. Mais ça, vous ne semblez pas vouloir le savoir. Non, vous ne pouvez pas le savoir. Car vous faites encore la fête avec vos héros. Mais la petite fille de 4 ans ? Y aura t il quelqu'un parmi les journalistes pour penser à elle ?

Mesdames et Messieurs les journalistes,

RÉVEILLEZ VOUS

Et puisque vous avez décidé d'oublier les héros Morts pour La France. essayez de ne pas oublier une petite fille de 4 ans, elle est là ,et vous regarde de ses grands yeux..

Jean de La Bâtie,

Ancien du 1er régiment de parachutistes

Père d'un parachutiste Mort pour La France

promotion LIEUTENANT ANTOINE DEJEAN de la BATIE

( 1 Vote ) 

 

Les scientifiques peuvent avoir franchi une étape importante dans leur travail pour restaurer la mémoire pour les cerveaux blessés des soldats handicapés.


En utilisant une puce d'ordinateur, les chercheurs ont donné des rats de la capacité de se souvenir de certaines tâches sur une période prolongée. Les scientifiques étudient actuellement le concept chez les singes, qui se déplace entre eux d'un pas plus près d'être en mesure d'aider les troupes qui ont subi des lésions cérébrales traumatiques.

L'idée est d'implanter un dispositif électronique qui contourne les parties endommagées du cerveau pour restaurer la mémoire et les fonctions cognitives. La recherche se concentre sur l'hippocampe, une zone du cerveau qui convertit les souvenirs à court terme et à long terme les. Les scientifiques ont créé un dispositif de synthèse qui exerce cette fonction chez les rongeurs. Sans un hippocampe de travail, des rats de laboratoire ne pouvait que rappeler une certaine tâche, ils ont été formés pour effectuer jusqu'à 10 secondes, dit Théodore Berger, professeur de génie biomédical à l'Université de Californie du Sud.

Le système pourrait aider les troupes qui ont subi des dommages au niveau des lobes temporaux, après une explosion engin explosif improvisé ou d'un événement similaire. Les responsables du Pentagone ont estimé que près de 400 000 vétérans des guerres en Irak et en Afghanistan ont subi des blessures cérébrales.

«Ils ont tendance à perdre la capacité à former de nouveaux souvenirs à long terme", a déclaré Berger. "Donc, c'est exactement le genre de fonction que ces gars-là ont besoin afin qu'ils puissent apprendre un nouveau métier et d'interagir avec de nouvelles personnes."

La Defense Advanced Research Projects Agency est le financement des travaux, qui inclut la participation de l'USC, l'Université Wake Forest et de l'Université du Kentucky. DARPA a donné le programme de l'acronyme le rappeler, ce qui signifie dispositif de codage d'intégration réparatrice de mémoire neuronale.

Les chercheurs ont déjà commencé à former les primates, en leur montrant des photos ils doivent se rappeler d'un certain nombre de secondes et la collecte des données initiales de leur cerveau.

"Il nous faudra quelques années pour travailler cela et alors nous serons sur les humains", a déclaré Berger.

 

( 1 Vote ) 

Stéphane Rybojad : "On me reproche de ne pas avoir fait un film à charge contre l'armée"

Stéphane Rybojad est lui-même grand reporter. Durant vingt ans il s'est trouvé dans des lieux dangereux caméra à l'épaule afin de témoigner. Depuis longtemps il voulait réaliser un film de fiction mais il a dû attendre l'âge de 47 ans pour y arriver.


 

« J'ai vu un jour arriver Stéphane pour un reportage sur les Forces Spéciales, dont je faisais partie. Je dois dire que je ne l'ai pas vu arriver d'un bon oeil, j'étais contre ce reportage. Mais peu à peu, pendant le tournage, nous avons commencé à parler et j'ai pu me rendre compte de son professionnalisme car il connaissait son sujet, notre histoire par cœur et j'ai trouvé ça rassurant. Nous sommes devenus amis et il m'a parlé de son projet d'en faire une fiction. Là encore, j'étais un peu sceptique, je trouvais le projet fou et je pensais qu'il ne le réaliserait jamais. Cinq ans après, il est revenu avec le scénario et durant les 9 semaines d'immersion à Lorient, j'ai vite été rassuré par les comédiens qui prenaient vraiment leur rôle à cœur et qui désiraient connaître les moindres détails de notre vie. J'ai rencontré des hommes plein d'humanité, qui avaient un grand respect de nos valeurs et l'amitié s'est vite installée. Ils étaient intégrés. Et lorsqu'il m'a proposé de jouer un rôle dans le film, j'ai dit oui !



Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
( 1 Vote ) 

Forces spéciales : 20 ans de secret

Le colonel Rosier, qui commandait le 1er RPIMa de Bayonne, avait reçu début 1991 le commandement du 1er groupement commando parachutiste (1° GCP), un groupement de 120 hommes formé autour d'un noyau dur du 1er RPIMa complété de 6 équipes CRAP (1er RHP, 2e REP, 3e et 6e RPIMa, 35e RAP). Le 1er GCP sera mis en place tardivement en février 1991, sans mission prédéterminée et avec un concept d'emploi à trouver sur place. 

   

Son témoignage bref mais précis sur le rôle des Forces spéciales dans l'opération Daguet a le mérite de la franchise, et sa conclusion annonce la création du Commandement des Opérations spéciales (COS) au lendemain de la guerre du Golfe : « l'expérience a prouvé que les moyens n'étaient pas à la hauteur de l'intention, en termes de capacité, d'autonomie et d'homogénéité ; le groupement engagé dans le Golfe n'a pu remplir que des missions de circonstance... »

Lire la suite : « les Forces spéciales françaises dans la guerre du Golfe - 1991»

Recherchez !

Connexion

Qui est en ligne ?

Nous avons 6 invités et aucun membre en ligne

Nous sommes sur Facebook