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Des parlementaires et des hauts gradés s’alarment des conséquences de la baisse des effectifs dans les armées et craignent toujours une érosion des crédits militaires

 

 

 

Aujourd'hui, vous pouvez aligner un fantassin tous les mètres de la porte de Saint-Cloud à la porte de Vincennes. En 1914, l'infanterie française pouvait
faire la même chose, mais de Lille à Marseille. La force opératiomlelle terrestre comprend 70000 hommes, et nous tendons vers les 6 6 000. C'est-à-dire qu'elle tient largement dans le Stade de Françe !

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Sources : l'expansion et la croix

 

 

 

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À 54 ans, sorti de Saint-Cyr en 1982, Jean-Pierre Bosser est un ancien « para ». Il a fait une bonne partie de sa carrière au 8e  RPIMa de Castres, qu’il a commandé en 2003, avec lequel il a participé à plusieurs opérations à l’étranger et dont la pérennité semble assurée.

 

 

 

photo:Armee de terre

 

Un au revoir émouvant en forme de passage de témoin. L’adieu aux armes du général Bertrand Ract-­Madoux, chef d’état-major de l’armée de terre depuis trois ans et sur le départ pour cause de limite d’âge, s’est déroulé vendredi 29 août aux Invalides, à Paris, avec une solennité toute militaire.

Lors de cette cérémonie était présent son successeur désigné : le général Jean-Pierre Bosser, nommé en conseil des ministres le 9 juillet, qui prend ses fonctions lundi 1er septembre.

 

Sa biographie : ICI

 

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La détresse des ouvriers du Pentagone français

 

Les chiffres donnent le tournis. 140 000 m2 de nouveaux locaux à bâtir,presque autant à rénover, plus de trois ans de travaux, des centaines d’ouvriers, des dizaines de sous-traitants, et près de 10 000 personnels (militaires et civils) qui intégreront le site à l’issue des travaux. Le chantier du futur ministère de la Défense à Balard (rapidement baptisé Pentagone à la française) est le plus important d’Ile-de-France.
Compte tenu de son ampleur et de son coût, le projet a été mené selon la procédure du PPP (partenariat public-privé). Le dispositif prévoit que le constructeur prend à sa charge les coûts de création et de maintenance des bâtiments. Ils seront ensuite « loués » pour 150 M€ par an à l’Etat qui en deviendra propriétaire en 2041.

source "le parisien"

 

 

 

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Invictus Games 2014 ,nos soldats aux jeux

 

 

 

 

Parmi les 400 participants de 14 nations, dix-huit athlètes militaires français participeront aux premiers Invictus Games (#InvictusGames), les jeux paralympiques pour les blessés de guerre (#blessésdeguerre) parrainés par le Prince Harry. Ils ont suivi deux séances d’entraînement intensives cet été, avant la cérémonie d’ouverture le 10 septembre au Queen Elisabeth Stadium à Londres.

Le site Invictus Games : Ici

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[Teaser] Invictus Games : Soutenez les... par ministeredeladefense

 

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Petit rappel historique : Juillet 1914. La France se met à l'impôt sur le revenu. Les tensions internationales augmentant, les budgets dédiés à la Défense augmentent. Afin de remplir les caisses de l'Etat, la France adopte en juillet 1914, un impôt sur le revenu dans le cadre de l'effort de guerre. Les taxes sur la consommation, le tabac, l'alcool et l'alimentation sont augmentées.

 

 

Mais aujourd’hui, fini impôts, taxes, charges et autres dépenses incontournables car, depuis le 28 juillet, vous ne paierez plus rien, la libération fiscale est là !

Ne prenez pas cette phrase au pied de la lettre, il s’agit seulement d’une gymnastique comptable que l’Institut Molinari vient de publier. Elle est basée sur le calcul de toutes les sommes « exorbitantes », qu’un salarié verse (sécurité sociale, retraite, chômage, charges divers, impôts, taxes et j’en passe) puis soustrait à ses salaires annuels. Charges de toutes sortes moins Salaires = Bénéfice !!!

En résumé, le français profite réellement de son argent à compter du 28 juillet… les sommes gagnées les sept mois passés ne servent qu’à payer les obligations de tout à chacun. Pour faire simple, lorsque vous gagnez 300 euros, il n’en reste que 100 pour vous, « énorme direz-vous ! ». La France est dans le peloton de tête de la fiscalité mais second tout de même ; nos amis belges ayant la palme d’or avec une libération fiscale le 06 aout.En regardant le tableau ci-dessous, qui ne rêverait pas d’être chypriote avec une libération en mars ? Un peu de sang irlandais nous irait aussi, afin de profiter de notre argent durement gagné à compter du 28 avril.

 

 

 

Mais comment font tous ces pays ??? Ou plutôt, comment faisons-nous pour devoir payer autant ??? Meilleur système de santé, meilleures écoles, meilleures infrastructures, meilleures administrations, meilleurs salaires… meilleure armée peut-être ??? Tout s’explique : nous sommes mieux armés, mieux habillés, mieux formés, en meilleure santé et mieux payés. Ne criez pas cocorico, cela va changer car les restrictions budgétaires, tous ministères confondus, vont devoir encore, et ce pour de nombreuses années, se serrer la ceinture. Régime drastique, nous approchons de la période des vaches maigres…. nous allons moins soigner, moins éduquer, moins entretenir, moins payer et moins recruter de soldats.

Vous préférez des phrases positives histoire de vous redonner le moral avec des plus au lieu des moins  ??? OK… nous serons PLUS malades, PLUS bêtes, PLUS bancals, PLUS pauvres et PLUS vulnérables militairement.

Mais il est à parier que malgré ces efforts, en 2015, notre délivrance fiscale, aujourd’hui au 28 juillet pour rappel, n’arrive qu’en août !!!

Emmanuel MALENFANT.

 

 

 

 

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Le New York Times publie une enquête sur le business des otages, qui a rapporté au moins 125 millions de dollars à Al-Qaïda et ses filiales en six ans.

 

 

 

L'ENQUÊTE. La France a beau répéter à cors et à cri ne jamais payer de rançons pour ses otages, une enquête du New York Times vient contredire Paris avec des chiffres très précis. Depuis 2008, la France aurait déboursé un peu plus de 58 millions de dollars (43,3 millions d'euros) pour faire sortir ses ressortissants des griffes d'Al-Qaïda et de ses filiales.

Le journal américain dévoile pour la première fois des chiffres précis ainsi que les méthodes de paiement pour des butins qui ont considérablement enrichi les organisations terroristes. Al-Qaïda au Maghreb islamique, Al-Qaïda dans la Péninsule arabique (au Yémen) et les Shebab (en Somalie) ont ainsi pu récolter près de 165 millions de dollars (123 millions d'euros) en six ans.

Dans le top 5 des meilleurs "financeurs" du terrorisme islamiste, la France fait figure de bonne première avec 43,3 millions d'euros. Le Qatar et Oman ont, à eux deux, déboursé 15,2 millions d'euros ; la Suisse caracole à la troisième place de ce triste classement, avec 9,3 millions d'euros de rançons ; puis viennent l'Espagne et l'Autriche.

Un plan « de com » !!! Depuis six ans, les pays européens ont ainsi largement abreuvé AQMI, AQPA et les Shebab, qui ont développé un véritable guide du bon kidnappeur, avec des stratégies pour tirer le maximum des Etats dont ils séquestrent les ressortissants. La communication avec les gouvernements s'est considérablement raffinée. D'une simple lettre déposée sous une pierre dans le désert, on est passé à un plan de communication rondement mené. Les ravisseurs possèdent désormais des téléphones satellites et une liste de numéros de téléphone et envoient désormais des vidéos, notamment à la chaîne qatarie Al-Jazeera.

Grâce à cette stratégie bien rodée, le prix d'un otage est passé de 150.000 euros en 2008 à près de 7.5 millions d'euros aujourd'hui. "Grâce à Dieu, la majorité des coûts de notre bataille, si ce n'est pas la totalité, a été payée grâce aux butins", écrivait en 2012 Nasser al-Wouhaychi, un leader d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique. "Et la moitié de nos butins vient des otages".

La naissance d'AQMI. Certains groupes islamistes vivent et fleurissent grâce aux rançons, explique le New York Times, qui a interrogé ex-otages, diplomates et experts sous couvert d'anonymat. Cet argent a permis à un groupe terroriste algérien de se faire accepter comme une filiale d'Al-Qaïda en 2007, désormais appelée Al-Qaïda au Maghreb islamique. Ils ont pu recruter et entraîner de nouveaux combattants et kidnapper d'autres européens….

Etats-Unis et Royaume-Uni refusent de payer. Pourtant, tous les pays occidentaux n'acceptent pas de payer de rançons. Le Royaume-Uni ou encore les Américains ont toujours refusé de débourser de l'argent pour leurs otages. "Les Américains nous ont dit, encore et encore, de ne pas payer de rançon.", déclare un ambassadeur européen en poste en Algérie. "Nous leur avons répondu : 'Nous ne voulons pas payer, mais nous ne pouvons pas perdre nos ressortissants", explique-t-il.

Lire aussi sur RFI

 

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Evoquer la Grande Guerre, c'est souvent une histoire de famille. ARTE a choisi de distinguer trois soldats qui ont pris part à ce conflit et de raconter leur destin. Arrière-grand-oncle ou arrière-grand-père, ils sont les aïeux de journalistes de notre rédaction

 

 

 

Le site d'Arte du webdocumentaire : Ici

 

 

Evoquer la Grande Guerre, c'est souvent une histoire de famille. ARTE a choisi de distinguer trois soldats qui ont pris part à ce conflit et de raconter leur destin. Arrière-grand-oncle ou arrière-grand-père, ils sont les aïeux de journalistes de notre rédaction. - See more at: http://info.arte.tv/fr/trois-soldats-dans-la-grande-guerre-le-projet#sthash.j7GbPD23.dpuf

 

Evoquer la Grande Guerre, c'est souvent une histoire de famille. ARTE a choisi de distinguer trois soldats qui ont pris part à ce conflit et de raconter leur destin. Arrière-grand-oncle ou arrière-grand-père, ils sont les aïeux de journalistes de notre rédaction. - See more at: http://info.arte.tv/fr/trois-soldats-dans-la-grande-guerre-le-projet#sthash.j7GbPD23.dpuf

 

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Après cinq mois au poste de CEMA quel est votre état d · esprit  actuel?

 

 

 

 

INTERVIEW - Chef d'état-major des armées (Cema) depuis février, le général Pierre de Villiers, 57 ans, a répondu en exclusivité aux questions du Figaro sur les enjeux ­actuels de la Défense.


 

LE FIGARO - Il y a deux mois, vous avez envisagé votre démission, solidairement avec les chefs d'état-major des armées de terre, de l'air et de la marine, si les engagements budgétaires pris envers vous n'étaient pas respectés. Où en êtes-vous aujourd'hui?

 

Général Pierre DE VILLIERS - Nous avons la chance d'avoir un projet cohérent et vertueux dans un livre blanc. Celui-ci a défini des scénarios d'emploi et des contrats opérationnels à partir d'une analyse géostratégique. En décembre dernier, la loi de programmation militaire(LPM) 2014-2019 a consigné les moyens nécessaires à cette ambition. J'ai moi-même, avec les différents chefs d'état-major d'armées ainsi qu'avec les directions et les services des armées, constitué un projet appelé «Cap 2020». Le budget découle donc des objectifs fixés et répond aux attentes du président de la République, chef des armées. Au début du mois dernier, le chef de l'État a rappelé la sanctuarisation de la LPM. De son côté, le premier ministre a déclaré que «la Défense ne paierait pas deux fois». Je reste donc serein et déterminé.

 

Les armées n'échapperont pas à la fermeture d'un certain nombre d'unités…

Pour supprimer 34.000 postes, il faudra inévitablement en passer par là. Des suppressions, des transferts et des restructurations seront nécessaires. Comme le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, je suis conscient des difficultés que cela entraîne. Nous essaierons de limiter au maximum l'impact de ces déflations qui ne porteront sur les forces opérationnelles que pour un tiers. C'est une sage décision, car la raison d'être d'une armée, c'est sa capacité à s'engager. Nous devons être capables de projeter nos soldats là où le président de la République le demande.

Après cinq mois au poste de Cema, quel est votre état d'esprit actuel?

Je le résumerais en trois mots. Le premier, c'est «ensemble». L'union sacrée des différentes armées, des directions et des services de la Défense est plus que jamais nécessaire. Elle constituera un atout majeur dans cette période transformation. Le deuxième mot, c'est «autrement»: compte tenu de la profondeur des changements à réaliser, des difficultés au quotidien vécues par nos personnels, il faudra trouver des solutions novatrices en sortant des schémas habituels pour continuer de construire une armée moderne. Le troisième mot: «au mieux». On ne peut plus faire mieux avec moins, compte tenu de toutes les réformes que nous venons de vivre ces vingt dernières années. Comme d'habitude, nous ferons «au mieux», à 120 % de nos possibilités, avec notre cœur, notre sens du service, notre dévouement pour le succès des armes de la France.

 

Retrouvez l'intégralité de l'interview dans l'édition abonnés sur le figaro.fr ou lundi 14 juillet dans votre Figaro.

 

 

 

 

 

 

 
 
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 L'aventure Américaine 

 

 

 

caporal-chef Raphaël Ferkatadji du 2e régiment d'infanterie de marine (2e RIMa) au départ du 50 m nage libre. Un athlète complet qui remporte une médaille d'or en basket fauteuil.

 

Du 4 au 12 mars 2014, dix soldats français blessés en service ou en opération ont participé aux Marine Corps Trials, compétition sportive américaine réunissant plus de 350 militaires blessés de dix nations, à Camp Pendlenton aux États-Unis. Nos militaires repartent de cette compétition avec un record de 16 médailles : 4 en or, 8 en argent et 4 en bronze, soit 4 de plus qu’en 2013.

 

Après la blessure doc : Ici

.Defense.gouv.fr/blesses : Ici

Arte ,l'accompagnement des blessés de guerre : Ici

Document pdf  source TIM

 

 

 

 

 

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Une nation française qui s’étiole, une armée qui décline

 

 

 

 

 

Des armées mal administrées : le rapport du HCECM (mai 2014)

 

Rapport qui a fait l’objet de peu de commentaires. Surprenant et pourtant.

 « Depuis plus de quinze ans, les militaires ont connu une succession de réformes qui ont affecté, à des degrés divers, l’organisation du soutien et la qualité des prestations servies. Auparavant et jusqu’à la professionnalisation des armées, l’administration des militaires était connue pour son efficacité et sa réactivité, notamment parce qu’elle disposait d’une main d’œuvre de qualité et quasi gratuite, de moyens budgétaires moins comptés qu’aujourd’hui et de procédures financières dérogatoires » (cf. partie 2 du  Rapport).

Nous le constatons tous les jours et personne ne voit les améliorations. Au contraire, et la réaction est « on ne peut plus rien faire et cela durera le temps que cela durera ». La démobilisation est forte. La civilianisation des postes n’arrange rien, les compétences n’étant pas toujours au rendez-vous.

 

 

lire la totalité de l'article de François Chauvancy : Ici

 

 

 Lire le dernier rapport du  Haut Comité d'évaluation de la condition militaire : Ici

 

 

 

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 3eme Rencontres militaires blessures et sports

L'occasion de vérifier les progrès.de la prise en charge des quelque 9.000 soldats grièvement blessés en mission.
 
 


 

Il avait la vie devant lui. Une vocation trouvée dès l'adolescence, le métier des armes. Un prestigieux diplôme en poche. Une affectation dans un régiment dépendant des forces spéciales, l'aptitude et le goût au commandement et aux missions secrètes et périlleuses. "Un de mes copains était mort lors d'un entraînement à l'explosif. J'avais donc prévenu mes parents : "Je peux me blesser, je peux mourir et si cela arrive, il ne faudra en vouloir à personne."" En août 2012, dans le Sahel, le véhicule du capitaine César* se retourne dans les dunes lors d'un exercice. Rupture des cervicales : à 24 ans, le prometteur officier se retrouve tétraplégique. "Ma première pensée a été : "Avec les filles, c'est terminé!"" On s'attendrait à ce qu'il craque, qu'il se révolte, qu'il en veuille au règlement qui empêche les forces spéciales d'attacher leur ceinture de sécurité pour être immédiatement prêts à intervenir. Qu'il sombre dans la dépression, l'alcoolisme, "ce qui arrive parfois, nous avons des cas de déshérence sociale", reconnaît le colonel Maloux, patron de la Cellule d'aide aux blessés de l'armée de terre (Cabat) et qui a ouvert ses portes en exclusivité pour le JDD.

 

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JDD : Ici

Le site sur les blessés  : Ici

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