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INTERVENTION D’HENRI GUAINO LOI DE PROGRAMMATION MILITAIRE SEANCE DU 27 NOVEMBRE 2013

 

 

Madame la Présidente,
Monsieur le Ministre,
Mes Chers Collègues,


Il est des sujets qui dépassent la droite et la gauche.
Sur tous les bancs de cette assemblée la plupart d’entre nous partageons la conviction
que la Défense appartient à cette catégorie.
Cela n’enlève rien à la vivacité du débat démocratique et ne saurait empêcher
qu’au terme de celui-ci, certains, Monsieur le Ministre, approuveront votre loi de
programmation militaire tandis que d’autres voteront contre elle ou que d’autres
encore, sans condamner votre travail, conscients des contraintes qui sont les
vôtres, ne se sentiront pas d’en assumer les conséquences et préfèreront s’abstenir.

La suite de  l'intervention : Ici

Site : Henri Guaino

 

 

 

 

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Parachuté dans le handicap

 

 

 

 

 

 

 

Coye est un jeune vétéran. Blessé pendant une action en Bosnie en 2000 et mutilé, il a dû changer de métier. Un tout autre combat

 

Nous l’appellerons : Coye. Pour Charlie-Oscar-Yankee-Echo, l’indicatif radio d’un commando des forces spéciales. Ce jeune vétéran participait récemment à des cérémonies patriotiques en compagnie de bérets rouges, peut-être d’anciens compagnons d’armes côtoyés sur des théâtres d’opérations allant de Djibouti, la Mauritanie, le Sahara occidental, l’Arabie saoudite, le Koweit, l’ex-Yougoslavie, la Bosnie...Tétraplégique à la suite d’une blessure en opération, ce jeune vétéran a rallié avec la vie civile et la dureté du quotidien d’un handicapé, face à la difficuté de trouver un emploi. Sacré combat. Aujourd’hui, Coye a retrouvé l’usage de son bras droit et des sensations dans les jambes. Sur son fauteuil roulant, il lutte contre l’handiphobie qui se manifeste jusque dans son nouveau milieu professionnel, l’Éducation nationale.Les questions fusent, mais les réponses sont dosées, compte tenu de la classification très confidentielle de son parcours au sein du commandement des opérations spéciales (COS).De Beyrouth à Bassorah. Aux quatre coins du monde, des conflits éclatent et il faut pouvoir intervenir rapidement, discrètement, avec des hommes entraînés à sauter en parachute à très haute altitude, piloter toutes sortes d’aéronefs, et si possible rentrer vivant.Octobre 83, son premier contact avec le feu fait la une des journaux : un attentat frappe Américains et Français à Beyrouth ; son baraquement saute : il sort de cet enfer au milieu de ses frères d’armes, certains blessés, mutilés. Ou décédés.La suite de sa carrière, toujours dans l’ombre se déroulera aux commandes d’un Mirage, ou sur la route de Koweit City à Bassorah rebaptisée pour la circonstance « highway of death » aux côtés des marines américains et d’autres zones d’intervention moins connues. Un court passage en tant qu’instructeur à l’école des sous-officiers, et Coye rejoint une nouvelle unité capable de récupérer des personnels et des matériels en terrain hostile (suite à l’exposition médiatique d’un pilote descendu en ex-Yougoslavie et utilisé comme bouclier humain) : suivront des interventions de protection dans les charniers du Rwanda, ou aux unités prises dans l’enclave de Srebrenica et Zepa.Août 2000, chef de groupe, Coye saute de nuit sur la Bosnie : au sol des hommes attendent les paras et les mitraillent ; la voile de Coye est déchirée, pas le temps d’ouvrir le ventral, il est trop bas et se crache au sol : ses hommes le récupèrent alors qu’il ne sent plus ses bras et ses jambes. Commencera alors son nouveau combat, celui pour apprivoiser la tétraplégie. aprèsdes années de soins, d’hôpitaux, de kinés, et en 2006, l’opération de la dernière chance est tentée. Il a intégré l’association Vétéran UN/Otan France, qui regroupe de nombreux camarades troupes de marine.Le soldat qu’il reste poursuit le combat : vivre avec un handicap en est un de tous les jours.

 

 

 

Sylvia Giral: sud ouest 
site : Vétérans

 

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Désarmement des Sélékas

 

 

 

 

 

Près de l'aéroport de Bangui, une douzaine d'hommes sont allongés par terre, bras sur la tête, devant une foule survoltée. Près d'eux, des lance-roquettes, des fusils AK-47, et quelques couteaux. Ce sont des combattants Séléka qui viennent d'être désarmés par les soldats français. Suivant les ordres reçus, les militaires français les relâchent presque aussitôt. Quelques instants plus tard, des tirs éclatent près des soldats. Ils ripostent aussitôt et se lancent dans une manœuvre d'encerclement du quartier par des chemins de terre, entre les maisons en bois. Les échanges de tirs sont nombreux: mais il n'y pas de blessé côté français, et il ne semble pas y en avoir parmi les Séléka.

lire la suite : Ici

source lignesdedefense

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 Revue de Presses Sangaris

 

bangui sangaris-1

 

Mesdames, Messieurs,

La situation en Centrafrique est devenue alarmante et même effrayante. Des massacres s’y perpétuent en ce moment même, y compris dans les hôpitaux. Chaque jour des femmes et des enfants sont violentés et des milliers de déplacés cherchent refuge.

Face à ce chaos général, le Conseil de sécurité vient d’adopter une résolution à l’unanimité donnant mandat à une force africaine pour apporter la sécurité, rétablir la stabilité en Centrafrique et protéger la population.

La France soutiendra cette opération. C’est son devoir : devoir d’assistance et de solidarité à l’égard d’un petit pays, la Centrafrique, bien loin d’ici, pays ami, pays le plus pauvre du monde, pays qui nous appelle au secours.

Vu l’urgence, j’ai décidé d’agir immédiatement, c’est-à-dire dès ce soir, en coordination avec les Africains et le soutien des partenaires européens. Déjà 600 militaires français sont sur place. Cet effectif sera doublé d’ici quelques jours, pour ne pas dire quelques heures.source Présidence

 

Libération :  Ici

L'express :   Ici

Le Parisien   Ici

Le Figaro :   Ici

Le Monde :  Ici

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Paie des militaires : Le Drian met fin au « désastre » du logiciel Louvois

 

 

 

 

« Désastre », « catastrophe indigne d'un pays comme le nôtre », « système complètement erratique »... Jean-Yves Le Drian a tranché : le calamiteux logiciel de paie Louvois des militaires va être jeté à la poubelle. « J'ai décidé d'abandonner le système Louvois. Je l'expliquerai aux forces de la brigade alpine, en particulier, dans quelques jours à Grenoble, car ce sont eux qui m'avaient indiqué les débuts du désastre auquel ce dispositif a conduit », a déclaré le ministre de la Défense, hier sur Europe 1.

 Source :  Les Echos





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Installée depuis plus de cinquante ans à Bangui, soeur Paulette n’avait jamais rien connu d’aussi dramatique que le chaos qui règne en Centrafrique.Un pays où la France s’apprête à intervenir

 

 

 

 

Depuis des semaines, l'interrogation revenait régulièrement dans les conversations en ville : pourquoi les forces françaises, qui ont déjà un contingent de 400 hommes stationnés à l'aéroport, n'intervenaient-elles pas pour mettre fin aux exactions de combattants issus de l'ex-rébellion Seleka – la coalition de rebelles qui a renversé François Bozizé et porté Michel Djotodia au pouvoir en mars, depuis dissoute ? « L'envoi de troupes supplémentaires françaises ne peut que soulager  ce peuple qui a déjà tant souffert », commente Jude Zossé, directeur du journal L'Hirondelle.

 

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 Monsieur le député,

 

 

Lors de la session du 30 octobre de l’Assemblée nationale, dans le cadre de la discussion sur le budget de la Défense, vous répondiez à la proposition d’amendement de Didier Baupin sur l’armement nucléaire, qui s’appuyait sur des prises de position de personnalités politiques et militaires, en déclarant :
« Vous faites référence à certains militaires, ce qu’a relevé Mme la présidente Adam, mais s’ils avaient été de bons militaires, cela se saurait. Je rappelle que ceux dont vous faites mention ont vu leur carrière stoppée, et c’est une très bonne chose. »
Et vous poursuiviez :
« Ces mentors de la défense se croient autorisés aujourd’hui à donner des leçons de bons sentiments, mais on aurait bien voulu qu’ils le fassent à l’époque. »

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Lundi 11 novembre, alors que l’ensemble de la nation, présente physiquement ou par la pensée, se recueillait autour de la tombe du « Soldat inconnu », en ce début de commémoration du centenaire de la Grande Guerre, quelques dizaines ou centaines de personnes ont manifesté bruyamment leur mécontentement, non loin de la place de l’Etoile, jetant ainsi le trouble et suscitant l’opprobre dans une cérémonie empreinte de solennité.

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Général Irastorza : la Grande Guerre lance «un appel à la vigilance»

INTERVIEW - Ancien chef d'état-major de l'armée de terre, le général Elrick Irastorza, qui préside la mission du centenaire de la Première Guerre mondiale, analyse la signification de la séquence mémorielle qui s'ouvre avec la commémoration de l'armistice.

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Incertitude sur la prise en compte des droits individuels à bonifications pour campagne double des militaires ayant servi en Afghanistan

 

 

 

 

 Suite notamment à l’action de l’Adefdromil, des droits à bonifications pour campagne double ont enfin été reconnus aux militaires ayant servi en Afghanistan par le décret n° 2011-1459, à compter du 3 octobre 2001.

Tout récemment, les listes d’unités et les périodes calendaires ouvrant droit à la campagne double (qui se comptent en nombre de jours supplémentaires), ont commencé à être publiées par arrêtés.

La durée entière du séjour en Afghanistan donne droit à la bonification de la campagne simple (ex. : 6 mois de présence donnent 6 mois de bonifications pour campagne simple). Il peut s’ajouter à cette bonification un nombre variable de jours supplémentaires de bonifications au titre de la campagne double.

Selon des informations parvenues à l’Adefdromil, les droits à bonifications pour campagne double ne seraient pas pris en compte, notamment pour le calcul de l’indemnité pour activités militaires spécifiques (IAMS).

En tout état de cause, le défaut de prise en compte des droits individuels à campagne double des militaires ayant servi en Afghanistan, présente deux conséquences de nature à léser gravement ce personnel. Il peut être à l’origine :

 -  d’un calcul erroné des droits à pension militaire de retraite, (PMR), s’agissant des bonifications de campagne au titre de l’article L 12 c du code des pensions civiles et militaires de retraite (CPCMR) ;

- d’un calcul erroné du droit à l’IAMS allouée avec une condition minimum de 90 jours de bonifications sur le fondement du décret n° 2008-1113 en cas de départ sans droit à pension militaire de retraite à compter du 1er novembre 2008, y compris au titre de bonifications antérieurement obtenues.

Il est rappelé que :

- le montant de la PMR peut être contesté dans un délai d’un an en cas d’erreur de droit, sans condition de délai en cas d’erreur matérielle (article L55 du CPCMR);

-  le montant de l’IAMS peut être contesté dans le délai de la prescription quadriennale.

L’Adefdromil conseille dès à présent à chaque militaire ou ancien militaire concerné de demander à vérifier son dossier individuel. Elle se tient à la disposition de ceux qui souhaiteraient engager des recours.

source: adefdromil

 

 

 

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 BLEUETS DE FRANCE

 

 

 

 

A l’approche des cérémonies du 11 novembre qui rendent désormais hommage à tous les morts pour la France, et à l’heure où les armées poursuivent leurs missions sur de nombreux théâtres d’opérations, l’amiral Guillaud encourage le plus grand nombre à s’associer à cette initiative. Il s’agit de témoigner de son soutien au monde combattant et de participer au rayonnement des armées au sein de la Nation.

 

Lire la suite : « Bleuets » 1er au 11 novembre 2013

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 Laboratoire P4

 

 

 

La pièce ressemble à n'importe quelle salle de laboratoire d'analyse, lumineuse et spacieuse, avec tout un matériel neuf qui ne demande qu'à être utilisé. Seule particularité, un congélateur est séparé du reste par un mur de barreaux,comme enfermé dans une cellule, tel un coffre-fort dans une banque. Dans quelques semaines, il recevra les premières souches de virus P4 (pathogène de classe 4), contre lesquels il n'existe aucun traitement

 

«Nous allons étudier les virus pour être capable de les reconnaître lors d’une menace»
Françoise Levêque directrice du centre maîtrise NRBC de la DGA

 

source lemonde.fr

Inauguration du laboratoire P4 par jean Yves Ledrian : Ici

 

 

 

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  Reportage à voir ou à revoir

 

 

 

 

L’opération Serval au Mali est une guerre sans images pour la presse. Pourtant, dès le premier jour de l’intervention, le 11 janvier 2013, l’armée française a tout filmé ou presque. Ces images jusqu’à présent inédites ont été tournées par des cameramen militaires. Une guerre à huis clos, menée d’abord par l’aviation et les très discrètes Forces spéciales. 

Pour la première fois, des journalistes ont pu avoir accès à ces images tournées par l’armée dès le début du conflit. Des images qui permettent de comprendre quel est l’ennemi que l’armée a combattu et affronte encore au Mali. Avec ce document, on découvre également comment et avec quels moyens se battent les djihadistes.

Un document exclusif écrit par Jean-Christophe Notin et Martin Blanchard. Réalisé par Martin Blanchard. Produit par Kuiv (Michel Rotman).

 

 

 

 

 

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