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Guérir... Laurent, Raphaël, Franck, Olivier, à 20 ans, 24 ans, 38 ans ou 52 ans, ils étaient sergent, colonel, adjudant-chef ou simple soldat; ils doivent tous se réinventer une vie, à l'hôpital de Percy d'abord avec les médecins et les kinés qui leur réapprennent à se servir de leur corps, puis avec leurs amis ou leur épouse. Ils ont accepté de parler de la douleur, des efforts qu'ils font pour marcher, bouger, redevenir des hommes...


Officiellement, 685 militaires français ont été sérieusement blessés depuis le début de l'intervention en Afghanistan, il y a 11 ans.

Pierre-Henry Mentheour et Fabien Lasserre ont rencontré des soldats français blessés en opérations. Le documentaire qu'ils ont réalisé sera diffusé sur France 2, le 10 juin, à 13h15.

Les soldats que les deux journalistes ont rencontrés ont été blessés au combat. Certains, gravement touchés, ont dû passer de longs mois à l'Hôpital des Armées de Percy en région parisienne, avant de pouvoir rentrer chez eux et reprendre une vie qui ne pourra jamais plus être "comme avant".

"C'est un sujet sensible", explique Pierre-Henry Mentheour, "quasiment tabou. Pourtant, l'Etat-Major et le service de santé des Armées ont exceptionnellement autorisé une équipe de télévision du magazine 13-15 à filmer durant plusieurs semaines le destin de ces hommes, leur rude parcours pour se remettre debout"

a revoir ici

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Dans les régiments, il y a plusieurs sergents-chefs Truchet. Et la hiérarchie voudrait qu'il y en ait davantage. En dix ans 83 soldats français ont été tués en Afghanistan,

700 autres ont été blessés dans leur chair, dont plus de la moitié par des engins explosifs improvisés. Quant aux blessés psychologiques – à des degrés divers –, ils représentent entre 7 % et 10 % des effectifs ayant servi sur place.JOCELYN TRUCHET Amputé d'une jambe après avoir été touché par une bombe en Afghanistan,ce sergent-chef a repris du service et doit gravir, fin juin, le mont Blanc avec une cordée de huit autres militaires.


Optimiste était le sergent-chef Jocelyn Truchet avant l'explosion d'une bombe artisanale qui, le 16 mai 2010, lors d'une patrouille dans l'Est afghan, entraîna l'amputation de sa jambe gauche. Optimiste, il est resté. Son visage souvent rieur en apporte la preuve, alors qu'il doit se battre avec une prothèse qui n'est pascomplètement adaptée à son moignon.Non seulement il ne se plaint pas de son handicap et des contraintes qu'il occasionne,mais il n'a qu'une idée : parfaire sa réintégration dans le 13e bataillon de chasseurs alpins de Chambéry – où son père et un de ses grands-pères avaient eux-mêmes effectué leur service militaire – et prouver qu'il a retrouvé la force de dévorer les montagnes.

 

Lire la suite : La nouvelle bataille d’un soldat blessé

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Pour divertir ses soldats et attirer de nouvelles recrues, l'armée américaine peut comprer sur des troupes originales et efficaces:ses groupes de rock. Enquête le doigt de·la couture du treillis.

Nom: Kirk Kadish. Age: 56 ans. Nationalité: américaine. Instruments pratiqués: claviers et accordéon au sein des Volunteers. Répertoire: Chuck Berry, Lady Gaga, Led Zeppelin, Maroon 5, Foo Fighters, Pink Floyd... Signe particulier: monte sur scène en boots et tenue de camouflage. C'est sa tenue de travail ; Kirk Kadish est sergent-major dans les forces armées américaines. Son job: jouer du rock pour la bannière étoilée.

 

Lire la suite : Du désert irakien aux plateaux de télé de The Voice

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Aux Etats-Unis, Chris Kyle, un tireur d'élite, vient de publier ses mémoires

Il a 37 ans et il revendique 255 morts. Chris Kyle vient de publier ses mémoires. Le livre est intitulé "American Sniper" ; c'est le bilan de six années au sein des forces spéciales, de bataille en bataille, et de cadavre en cadavre.

Chris Kyle a donc compté 255 victimes au bout de son fusil. Le Pentagone est plus modeste : il estime que le soldat a fait "seulement" 160 morts, lors de ses quatre missions en Irak. Dans le magazine du Monde, Franck Berteau dresse le portrait du militaire texan.

 

Lire la suite : Le Diable de Ramadi

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Du 20 au 22 mars 2012, une formation «Morphée» (module de réanimation pour patients à haute élongation d’évacuation) a été organisée sur la base aérienne 702 d’Avord.


 

Installé au sein d’un ravitailleur C135 FR, le kit "Morphée" est utilisé pour mener des missions d’évacuations aériennes médicalisées au profit de blessés graves. Ce diaporama a été réalisé en coopération avec le service de santé des armées.

le diaporama ici

soucre armée de l air

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Des artistes exposent leurs oeuvres au profit des blessés en opération et des familles des soldats morts au combat

Du 10 au 13 mai 2012, Hôtel national des Invalides 

 



Engagés au plus près de l’adversaire, ils sont amenés à prendre des risques quotidiens pour assurer, jour après jour, heure après heure, leur mission. Ainsi en 2011,20 soldats sont morts au combat et 417 autres ont été blessés en opérations ou en service.Après la prise en charge médicale, le blessé bénéficie d’un réseau d’assistance qui se met en place tant à son profit qu’à celui de sa famille. Véritable « tour de contrôle » du suivi du blessé, la cellule d’aide aux blessés de l’armée de Terre (CABAT) assure la coordination du soutien prodigué.Créée en 1993 et rattachée au Gouverneur militaire de Paris, la CABAT a pour mission d’accompagner celles et ceux qui sont touchés dans l’accomplissement de leur engagement ainsi que les familles de décédés, les « blessés du coeur ». L’État joue pleinement son rôle dans le droit à réparation du préjudice subi par les soldats qui servent leur pays. Mais l’État ne peut pas tout. Afin de compléter la prise en charge réglementaire des blessés et des familles des décédés, la CABAT prend à son compte « ce que les autres ne font pas » et donne vie à des projets aussi divers que l’alimentation des familles en milieu hospitalier, l’équipement de véhicules, les compléments de prothèses, etc.Depuis sa création, la CABAT a ouvert plus de 5 600 dossiers de suivi des blessés et en accompagne quotidiennement plus de 350.

 

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Cela fait un bail que l'armée ne fournit plus ses troupes en dessous officiels, laissant chacun libre en la matière.

Aussi, quand la société française de lingerie masculine Eminence a remporté un appel d'offres auprès de l'armée en France, ce ne fut pas pour équiper des militaires de boxers, griffés ou Athena, mais de tricots high-tech. «Nous avons développé une technologie spécifique pour fabriquer un polo à manches longues, à col zippé, explique Dominique Seau, président d'Eminence. Il permet de réduire la signature infrarouge des soldats sur les terrains d'opération.»

Ce produit, et d'autres à venir, offre à Eminence un potentiel «militaire» de 10 millions d'euros de chiffre d'affaires d'ici à trois ans. Et du travail pour ses salariés en France et en Europe, où Eminence fabrique 40 % de ses dessous. L'entreprise, qui réalise 61 % de ses 142 millions de chiffre d'affaires avec sa marque accessible et sportive Athena, et le reste avec ses collections haut de gamme Eminence, a encore 2 sites et 500 salariés dans le Gard. En sortent des dessous à forte valeur ajoutée, tels ceux de l'armée, ou de sportifs. Athena est fournisseur et partenaire officiel de la Fédération française d'athlétisme. Dans un clip, bientôt sur le Web, la marque met en scène quatre athlètes nus floutés, prêts à sauter dans leurs boxers… dont Renaud Lavillenie, champion d'Europe de saut à la perche, sélectionné pour les JO de Londres.

Par Anne-Sophie Cathala

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Saustas cité à l'ordre de la brigade

 l'un des chiens de la  prestigieuse unité 132 BCAT, Sastaus, a été cité à l'ordre de la brigade et s'est vu attribuer par le général Bertrand Ract-Madoux, chef d'état-major de l'armée de terre, la médaille d'or de la défense nationale avec étoile de bronze. Sastaus a détecté huit mines antipersonnel et plusieurs engins explosifs improvisés, particulièrement bien dissimulés par l'adversaire. L'animal n'a pas été dupe des pièges sur le terrain et a été pour les hommes du 132e comme pour les militaires associés aux opérations d'une aide essentielle.


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"l'adaptation nécessaire et envisageable de l'outil militaire".

Tribune - Il nous faut une garde nationale !

Un corps autonome

le groupe Janus réfléchit en toute discrétion à l'avenir des forces armées françaises

La garde nationale sera un corps autonome avec un uniforme distinct des trois autres armées. L'ossature d'active (15 à 20 % du personnel) viendra indistinctement des trois armées et sera issue des cadres militaires mutés, de civils travaillant pour la défense, de personnel affecté à leur demande mais aussi de militaires d'active préparant un stage ou une reconversion. Les bases de défense actuelles appartiendront à la garde nationale et soutiendront les trois autres armées. Toutes les spécialités seront ouvertes aux gardes nationaux (pilote d'hélicoptère, permis mer, permis de conduire, brevet de parachutisme, qualification montagne, cursus officiers, sous-officiers et officiers mariniers, spécialistes, etc.). Une partie de la formation se tiendra dans les écoles actuellement existantes (terre, air et mer).

source le point

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N'oubliez  Pas Ceux  qui sont tombés

Honorer ceux qui servent et leurs familles

et

 Enseigner à nos enfants la valeur de la liberté


 

Malgré la montée des doutes dans l'opinion sur le bien-fondé de cette guerre lointaine, le lien très fort qui unit la nation à son armée transcende la société américaine. Une façon, peut-être, d'expier le phénomène d'abandon dont furent victimes les vétérans du Vietnam il y a trente-cinq ans.

Il faut être allé se recueillir sur les tombes de la section 60 du cimetière militaire d'Arlington pour comprendre que l'Amérique est en guerre depuis bientôt dix ans.

Il faut avoir marché entre ces quelque 600 tombes d'un blanc immaculé, à l'ombre desquelles dorment une partie des soldats tombés en Irak et en Afghanistan ces dernières années, pour prendre conscience de l'importance du prix payé par la nation américaine dans ces deux guerres lointaines, où elle a déjà perdu plus de 5 300 hommes. Il faut avoir été présent ce jeudi matin 8 octobre par exemple, à 9 h 30 précises, pour l'enterrement du sergent-chef Nekl B. Allen, tué en septembre dans une embuscade tendue par les insurgés talibans, dans la province afghane de Wardak, à l'âge de 29 ans...Ce jour-là, malgré le soleil étincelant qui étend ses rayons sur le paysage, une brise pénétrante fait frissonner les participants tandis que le cortège d'honneur du 3e régiment d'infanterie apparaît au milieu des grandes pelouses semées de tombes.

Contrairement à la majorité des familles, qui préfèrent enterrer leur fils dans leur ville, le clan Allen a choisi le cimetière militaire national d'Arlington, un choix donné par le département de la Défense. Une petite quarantaine de parents et de proches se sont massés autour de la tombe fraîche pour accueillir le cercueil porté par des soldats en grand uniforme. Au premier rang, il y a la veuve de Nekl, Amy, ses trois enfants, Christopher (10 ans), Michael (7 ans) et Grace (5ans), ainsi que les parents du défunt.

Des amis motards du mort appartenant à l'Association de vétérans Bulldog ont fait cortège sur leurs Harleyrutilantes. Lentement, les soldats de la garde d'honneur déplient le drapeau dans lequel ils vont envelopper le cercueil de Nekl et en offrent d'autres, soigneusement pliés, à sa femme, à ses parents et à chacun des enfants. Trois salves sont tirées en l'honneur du défunt. Le clairon entonne la prière aux morts. «C'est un bel adieu que nous faisons à nos soldats n'est-ce pas ?» dit la jeune attachée de presse du cimetière d'Arlington, Kaylin Horst, chargée d'escorter les journalistes. Les larmes lui montent aux yeux en observant les trois enfants qui s'accrochent à leur mère.

 

Lire la suite : Section 60

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Sortir d'un guet-apens "en Afgha" est plus facile que de s'extraire du chômage

«Se reconvertir est extrêmement anxiogène. Quitter un univers professionnel pour aller vers l'inconnu ... c'est pareil pour un soldat, un colonel ou un général: lorsqu'ils entrent dans la démarche, ils font face à un mur. »

Le brigadier-chef Henry Peïo fait partie de ceux-là. Vingt-deux ans dans les forces spéciales. Des situations périlleuses dans des pays lointains. Une vraie expertise de la guerre, des armes, de la protection rapprochée. Henry Peïo a consacré une bonne partie de sa vie au 1er régiment parachutiste d'infanterie de marine (1er RPIMa). Jusqu'au jour où l'âge limite est atteint. Il faut alors retourner à une vie normale, une vie civile. Avec tous ses charmes:

«Je n'avais jamais foutu les pieds à la CPAM (caisse primaire d'assurance maladie). A l'armée, vous êtes assisté pour toutes ces choses et là, vous vous retrouvez comme un gamin de 5 ans. Qu'est-ce que je dois mettre sur mon CV? Que je sais tirer avec telle et telle arme? A Pôle Emploi, ils sont perdus face à vous.» (source slate.fr)

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le site Veteran Jobs center

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