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Sortir d'un guet-apens "en Afgha" est plus facile que de s'extraire du chômage

«Se reconvertir est extrêmement anxiogène. Quitter un univers professionnel pour aller vers l'inconnu ... c'est pareil pour un soldat, un colonel ou un général: lorsqu'ils entrent dans la démarche, ils font face à un mur. »

Le brigadier-chef Henry Peïo fait partie de ceux-là. Vingt-deux ans dans les forces spéciales. Des situations périlleuses dans des pays lointains. Une vraie expertise de la guerre, des armes, de la protection rapprochée. Henry Peïo a consacré une bonne partie de sa vie au 1er régiment parachutiste d'infanterie de marine (1er RPIMa). Jusqu'au jour où l'âge limite est atteint. Il faut alors retourner à une vie normale, une vie civile. Avec tous ses charmes:

«Je n'avais jamais foutu les pieds à la CPAM (caisse primaire d'assurance maladie). A l'armée, vous êtes assisté pour toutes ces choses et là, vous vous retrouvez comme un gamin de 5 ans. Qu'est-ce que je dois mettre sur mon CV? Que je sais tirer avec telle et telle arme? A Pôle Emploi, ils sont perdus face à vous.» (source slate.fr)

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