Mon général.
Monsieur le colonel commandant le 2ème RIMa par suppléance.
Chers membres de l'amicale du 2ème RIMa.
Mesdames, messieurs.
Permettez-moi tout d'abord de vous souhaiter à toutes et tous la bienvenue ici-même et vous remercier de votre présence à cette 37ème assemblée générale de notre amicale. Votre participation démontre bien les liens de fraternité et d'amitié qui doivent nous unir.
Le pdf :ici
S'il me revient l'honneur et la très grande fierté de présider, pour la quatrième et dernière fois cette noble assemblée, je vous rassure de suite : je vais essayer d'être rapide, précis et concis. Pour nous tous, ce rendez-vous annuel est unique et il doit le rester : priorité donc aux retrouvailles, aux échanges et à la bonne humeur ; adieu au bla-bla soporifique.
Je voudrais dans un premier temps remercier tout particulièrement de leur présence le général SOYARD et le colonel RICHARD. Leur participation prouve leur attachement à notre glorieux régiment et est un bien beau gage de fidélité. Je me permettrais, à ce niveau, de vous présenter les excuses de nos anciens CDC qui n'ont pu se libérer pour des raisons professionnelles ou familiales. Permettez-moi, à cette occasion, de vous lire quelques mots qui m'ont été adressés par certains d'entre eux.
- général THONIER : « je ne pourrais malheureusement pas être présent. Non pas que Le Mans est éloigné de Strasbourg, mais parce qu'à cette date je ne serais pas en France. Transmettez mes vifs regrets à l'ensemble des amicalistes présents. Je ne vous oublie pas. Vous connaissez mon attachement à notre régiment. Notre amicale va tourner une page en élisant un nouveau président : le 4ème de son existence. Au delà des hommes, c'est bien sûr la flamme du 2 qu'il faut entretenir. Merci à tous ceux qui s'investissent pour que notre régiment ait une amicale dynamique et représentative. Mon amical souvenir à chacun d'entre vous ».
- général MEILLE : « je regrette beaucoup de n'être pas à Auvours pour l'AG. Mais c'est une veille de jour électoral et il m'est impossible de quitter le canton ce jour-là. Saluez les Anciens et dites-leur toute mon amitié. Transmettez à mon très cher Daumas, avec toutes mes félicitations anticipées, mes vœux de succès à la barre du vaisseau. Bien amicalement ».
- général LEMOINE : « j'ai le grand regret de ne pouvoir assister à l'AG de notre amicale vu le poids des années et la distance. Je vous souhaite une excellente réunion et je formule des vœux pour ce brillant régiment que je n'ai jamais oublié. Avec toute mon amitié ».
- général ROISIN : « à la veille de la prochaine assemblée générale de l'Amicale du régiment, je voulais vous informer personnellement que je ne pourrais être présent en raison de fortes contraintes professionnelles et d'un manque de lisibilité sur mon emploi du temps. Soyez bien convaincu que je le regrette, mais il n'est pas facile de diriger une entreprise dans les conditions actuelles de notre économie et cela demande beaucoup de disponibilité et d'engagement personnel, en particulier en région parisienne. Je souhaitais également vous remercier personnellement pour votre investissement personnel dans le rayonnement et le développement de l'Amicale. Vous avez su insuffler une énergie nouvelle et je regrette sincèrement votre départ tout en le respectant totalement. Je vous souhaite une bonne assemblée générale.
Fidèlement ».
- général RENAUD : « je ne peux pas, malheureusement, être parmi vous aujourd'hui en raison d'obligations professionnelles qui me retiennent à Fontainebleau. Je souhaite remercier chaleureusement le Lcl Dumest pour le remarquable travail effectué à la tête de l'Amicale et la disponibilité dont il a constamment fait preuve pendant son mandat, conduit avec courage et sens de l'innovation. Je souhaite au nouveau président qui sera élu de poursuivre cette tâche avec la même foi et le même courage. Qu'il sache qu'il aura tout mon indéfectible soutien. Je quitterai le service actif le 1er août et me retirerai à La Baule. Je resterai en contact avec le 2ème RIMa bien sûr et son amicale que je ne manquerai pas de soutenir. Je vous communiquerai toutes mes coordonnées dès que possible. Bonne journée à tous et à bientôt. Avec toutes mes amitiés coloniales."
- colonel De HEAULME de BOUTSOCQ : « une fois encore, je ne pourrais assister aux activités de l'amicale, à laquelle j'attache pourtant beaucoup de prix et d'affection. Malheureusement, l'âge est là. Mon épouse et moi-même apprécions à sa juste valeur la vitalité de cette amicale et lui souhaitons encore de longues années d'amitié active et de partage. Très cordialement ».
- colonel LORREYTE : « je suis désolé de ne pouvoir être à vos côtés. Bon vent et longue vie à l'amicale. A un de ces jours sans doute. Fidèlement ».
- colonel LAUNOIS : « je ne serai pas présent à l'AG. Veuillez m'en excuser. Je reste un officier et un marsouin du 2ème de Marine et j'espère que la prochaine réunion sera la bonne pour moi. Bon vent et bonne mer à tous. Cordialement ».
- colonel COLCOMBET : « je ne serais parmi vous en raison de contraintes professionnelles à l'EMA. Notre glorieux régiment effectue actuellement un travail remarquable et reconnu de tous en Afghanistan. Il poursuit dignement la tradition de ses anciens pour lesquels je te demande de leur transmettre mon amitié indéfectible. Colonialement vôtre ».
Mes remerciements les plus chaleureux s'adressent également au colonel HELUIN pour toute l'attention qu'il porte à notre amicale et toutes les facilités qu'il lui accorde. Malgré toutes les préoccupations et charges de travail liées à son fonction de chef de corps, il n'oublie jamais son amicale et même aujourd'hui, bien que loin de nous et engagé dans une mission dangereuse, complexe mais passionnante, je suis sûr qu'il est à nos côtés : un très grand et très sincère merci mon colonel. Qu'en votre nom soient également remerciés tous vos subordonnés (cadres et militaires du rang), grâce auxquels l'amicale peut évoluer en toute sérénité : puisse ces liens perdurer le plus longtemps possible.
Avant de débuter mon court exposé sur le rapport moral, je souhaiterais que l'on puisse observer une minute de silence et de recueillement en l'hommage de nos disparus depuis notre dernière AG. Nos amis Daniel LORIDAN, Jean Jacques LOSTANLEN, Raymond BOELLE, Arnaud FRANZIN, Gabriel GALLIEZ, Louis GIBAUD et Jeannette BOVOLENTA nous ont quittés. Nul doute cependant, que de là-haut, ils sont toujours à nos côtés et nous observent avec tendresse. Je n'oublierais pas non plus nos camarades d'active : le Lcl Thierry TAVERNY, le Sch BERGMANN et le Cch MARAUT, tous du grand 2 ; nos pensées vont vers vous.
L'assemblée plénière de ce jour regroupe un effectif de 75 participants et de 33 pouvoirs : le quorum est de fait atteint et je peux donc déclarer que la 37ème assemblée générale de l'amicale des anciens du 2ème RIMa peut se dérouler et délibérer conformément à ses statuts.
Abordons donc dans un premier temps ce fameux rapport moral.
Tout d'abord, je tiens à remercier très chaleureusement notre ami Roger DAUMAS qui a eu la volonté et l'audace de se présenter à l'élection de président de l'amicale. Je souhaite que vos votes, tout à l'heure, le récompensent de sa démarche. Je persiste, et signe, je suis fier et ravi, que ce soit un « ancien sous-officier » qui prennent les rênes après moi. Au risque de surprendre et de décevoir, je suis fidèle à ma ligne de conduite et je persiste à dire que l'alternance ne peut être que profitable. Une amicale est une amicale, et dans le mot amicale, il y a ami. Donc, faisons fi de toute arrière pensée, comme quoi seul un ex-officier pourrait être président de cette amicale.
Aussi, j'assume entièrement cette « passation de pouvoir » et je m'en honore. Je ne peux que vous demander de bien vouloir me suivre dans cette démarche et d'apporter désormais votre plein et entier soutien à Roger. Sachons évoluer et tant pis pour les esprits chagrins !!!
En ce qui me concerne, comme je l'ai dit écrit dans notre dernier bulletin, je ne tirerai aucun bilan de ces quatre années passées à votre tête. Ce serait présomptueux et prétentieux, j'ai beaucoup de défauts, mais en aucun cas ceux-là ! Je suis cependant ravi d'avoir pu mener à terme les objectifs que je m'étais fixés, rappelez-vous mes idées-force d'il y a 4 ans . La cible est atteinte et ce, même si l'aide au reclassement de nos jeunes camarades n'est encore, quant à elle, qu'un vœu pieux. Il ne faut cependant pas baisser les bras, mais au contraire, voir ce qu'il est possible d'entreprendre dans le proche avenir. Désolé Roger, mais comme l'ancien rugbyman que j'étais, je « passe la balle à l'aile » ! A toi d'aller marquer l'essai !
De ces quatre années, je ne conserverais que d'excellents souvenirs : amitié, solidarité, disponibilité et volonté d'aller de l'avant. Je ne mettrais personne sur le devant de la scène (les intéressés se connaissent) ; aussi et tout simplement, merci à vous tous. C'est aussi pour cela que je ne quitterais pas le navire, mais resterais en « deuxième échelon » : à savoir en appui et en soutien !
Rebalayons donc, si vous me le permettez, une dernière fois, ces idées directrices.
Concernant le devoir de mémoire, sachez qu'en 2010, l'amicale a participé -et participera encore- à toutes les cérémonies militaires organisées par le régiment ainsi qu'aux différentes manifestations patriotiques organisées par la ville du Mans. L'amicale était également présente à la journée commémorative du soldat d'outre-mer, au rassemblement national de Fréjus ainsi qu'au congrès de la FNAOM. Notre présence, en terme d'effectifs, était certes restreinte, mais je suis certain que cette année, ce congrès qui se déroulera à Caen verra une plus grande délégation de notre amicale.
Concernant les liens avec le régiment, sachez aussi que l'amicale s'efforce de tisser et de maintenir des liens avec les jeunes EVAT. Nous sommes partie prenante de toute cérémonie à leur intention, et cette année, nous relancerons d'autres activités (acculturation à l'histoire des TDM et du régiment, participation aux bivouacs des unités sur le terrain, remise de képis à l'Oasis...), bref autant de pistes pour resserrer ces liens et montrer que l'amicale est derrière tous ces jeunes, afin leur transmettre le flambeau dans les meilleures conditions possibles. Ce flambeau est déjà repris, la mission en Afghanistan nous le démontre chaque jour ; il faut maintenant qu'ils le maintiennent haut et fier. Je suis confiant dans la jeune génération : aidons-la !
A ce sujet, notre bulletin semestriel ainsi que notre site informatique et notre « mailing » sont trois outils prépondérants de cette transmission du savoir et du savoir être vis à vis de ces « djeun's » comme le veut l'expression. J'espère que ces moyens vous donnent satisfaction et répondent à vos attentes. Nous n'avons pas la prétention d'avoir innové ou « inventé l'eau chaude », mais nous essayons tout simplement de « vivre avec notre temps ». Je ne peux que vous inviter à visiter régulièrement notre site ; il regorge d'excellents articles et essaye de vous communiquer un maximum d'informations. A vous maintenant de nous aider, oui je sais je me répète, mais deux rédacteurs c'est peu, les acteurs du film doivent être plus nombreux ; aussi que chacun d'entre-nous n'hésite donc pas à prendre sa plume ou mettre la main sur sa souris. Sinon la flamme risquera immanquablement de s'éteindre !
Pour ce qui est de nos effectifs, toutes nos actions ne doivent avoir qu'un seul but : celui de rajeunir nos rangs et de fidéliser nos effectifs. A ce jour, nos effectifs sont de 298 adhérents et sympathisants (l'an dernier à la même date, nous étions 310). Certes, vous allez me dire, nos chiffres régressent. Pas faux, mais d'une part je n'ai aucune envie de « faire du bilan » (je laisse volontiers cela à d'autres amicales : quel intérêt d'avoir 1000 adhérents, si la moitié d'entre eux n'est pas à jour de ses cotisations ?) ; et d'autre part, conformément à nos statuts, après 2 ans de non paiement ou de non régularisation, les intéressés « sortent des comptes ». Mon souci majeur, réside à ce niveau, dans la négligence de certains de nos membres qui ne nous font pas part de leurs changements d'adresse (ou surtout de leur affectation au retour d'outremer en ce qui concerne nos camarades d'active) : dès que la trace est perdue, pas facile de la retrouver, d'où perte en ligne. Là, j'avoue mon impuissance. Qu'importe ! La formule suivante me convient bien : « petit mais costaud » !
Pour revenir à mon propos sur le rajeunissement de nos effectifs, il n'est, bien sûr, pas question de « forcer la main » ou d'ouvrir un « quelconque centre de recrutement », mais nous avons initié cette année, idée dont je vous avais déjà parlé, une permanence hebdomadaire au bureau de l'amicale. Cette permanence a deux objectifs : le premier, resserrer les liens qui nous unissent au régiment ; le second, sensibiliser par là même, les jeunes quittant l'institution à prendre contact avec nous, conformément aux souhaits exprimés par le général LANG. « Le coup est parti » ! « Attendons l'efficacité » !
Enfin, pour terminer sur le domaine des effectifs, il me semble essentiel de poursuivre, contre vents et marées, nos efforts. Mon plus grand sentiment d'échec, en tant que président, concerne la faible participation de nos camarades aux manifestations organisées par l'amicale (bal, repas, sorties touristiques, cérémonies au régiment). Je ne jette la pierre sur personne, je me sens tout simplement impuissant pour remédier à cet état de fait.
N'y voyiez aucune attaque personnelle de ma part, c'est tout simplement frustrant et décourageant, et il était de mon devoir de vous le dire à l'occasion ce cette assemblée.
J'en reviens à l'amicale. Car, si l'on veut que notre amicale évolue et progresse, du sang neuf et des idées elles aussi nouvelles sont impératives ; rassurez-vous, c'est le cas (j'en témoigne personnellement) et je remercie en votre nom tous nos jeunes camarades (ils se connaissent) qui ont justement apporté innovation, motivation, engagement et dévouement. Ils ne doivent pas être les seuls et toutes les bonnes volontés et actes de candidature sont à prendre en compte : « on compte sur vous », comme le veut une expression bien connue !...
Dans ce même ordre d'idée, je pense qu'il serait utile de « reprendre contact » avec la société civile locale et régionale: élus, mairies, associations ... que sais-je encore ? Nous ne pouvons plus, de nos jours, vivre « en circuit fermé », l'ouverture est indispensable ; mais, je ne suis pas, et je ne serai jamais, un grand communicant ; ce n'est pas dans mes gènes : SORRY ! Aussi, je vous le concède, et j'assume, je n'ai jamais effectué une telle démarche. Je compte donc sur toi, Roger, pour pallier ma déficience. Ton carnet d'adresses est bien rempli et tu es charismatique, aussi je suis persuadé que tu réussiras ce challenge indispensable à l'évolution de notre amicale.
Mon dernier point de ce rapport moral abordera le sujet de l'aide au reclassement. Comme je viens de vous le dire, cette année la FNAOM devrait initier un processus d'accompagnement vers l'emploi. Ces actions tout naturellement, ne se substitueront pas au travail des actuels dispositifs mis en place par la Défense et par le régiment, mais devront au contraire venir en complément. Là encore, rien n'est acquis au regard de la conjoncture sociale et économique actuelle. La démarche a le mérite d'être lancée, à nous d'y souscrire et d'essayer d'obtenir des résultats positifs et concrets : la tâche est rude, vous vous en doutez bien ! Il y a beaucoup à faire !
Pour terminer, je vous livre trois réflexions qui n'engagent que ma seule responsabilité.
1 / tout d'abord, je souscris pleinement aux propos tenus par le général LANG dans le dernier numéro de l'AOB et je l'en remercie Ces propos reflètent parfaitement ce qu'anciens combattants et beaucoup de militaires d'active ressentent.
Je le cite : « je suis indigné d'observer avec quelle indifférence, voire quelle désinvolture, la Nation accueille la nouvelle du décès de camarades -morts pour la France-, je ne supporte plus que la mort de ceux qui portent les armes de notre pays pour défendre, non plus le sol, mais désormais ses ressortissants, ses intérêts et ses valeurs ne soit qu'un épiphénomène, comme s'il s'agissait, pour des soldats professionnels, que d'un banal accident de travail ». No comment, merci mon général, vous avez parfaitement, et malheureusement, résumé la situation actuelle.
2 / ensuite, comme bon nombre d'entre vous, je m'interroge et je me pose la question suivante. La France n'est-elle pas en train de perdre son statut de puissance militaire mondiale. Certes, le cœur de la réforme issue du dernier Livre Blanc est encore conservé pour le moment, mais pour combien de temps ? A force de reporter les décisions et de faire « glisser » les programmes, j'ai le sentiment que nos unités sont en train de perdre leur substance et même certaines de leurs capacités majeures. Quand je discute, « au coin du bois », avec nos camarades d'active de notre beau régiment, je suis attristé quand ces derniers me font part de leurs difficultés quotidiennes et de leurs incertitudes pour l'avenir. Déflation de personnels, des matériels qui se dégradent et pour lesquels l'entretien devient une gageure, des missions exponentielles, des réductions de crédits, faire « toujours plus » avec « toujours moins »... bref, je suis persuadé que ces derniers ne me mentent pas. A force de tirer sur la corde, vous connaissez la fin de la formule !... Nos dirigeants en sont-ils conscients ?
3 / enfin, et heureusement, malgré ce que je viens de dire, je demeure confiant et optimiste. Nos jeunes successeurs ont « dignement repris le flambeau ». Il suffit de constater le travail quotidien effectué en Afghanistan ; il suffit de les écouter ; il suffit de les regarder : enthousiasme, dynamisme, volonté d'aller de l'avant. Les notions immuables qui nous ont unis : caractère sacro-saint de la mission, défense des valeurs universelles, fraternité d'armes, don de soi, refus de l'adversité, sacrifice « suprême », sont autant de valeurs intemporelles. Nos camarades d'active les pérennisent. A nous, les plus anciens de les aider dans cette démarche, de les soutenir et surtout, de ne pas les décevoir.
Pour conclure ce rapport moral et revenir enfin au fil directeur de mon exposé (on appelle cela « rappel de l'idée maîtresse » !), je suis persuadé que notre amicale a encore de beaux et de longs jours devant elle. Ces 4 années m'ont démontré que malgré les contraintes et les vicissitudes quotidiennes, les « anciens » ont toujours répondu présents. Continuons ainsi, c'est à chacun d'entre nous d'œuvrer pour que notre amicale soit vivante, attractive et rayonnante, afin qu'elle puisse continuer de promouvoir les valeurs de mémoire, de solidarité et d'amitié, valeurs historiques des TDM.
Longue vie à notre amicale, elle est sur « un excellent cap », je lui souhaite désormais « bon vent, ciel bleu et mer calme » !
Ma dissertation est finie, et avant de passer la parole à notre trésorier, je vous demanderais de retenir ces quelques dates pour nos activités à venir :
- 14 mai : sortie touristique (repas et spectacle Cabaret) et simultanément, Congrès de la FNAOM à Caen. Inscrivez-vous, il reste encore des places.
- 25 juin : journée champêtre à l'Oasis, chez notre camarade Jacky Mauboussin
- 07 juillet : cérémonie de dissolution du BG Richelieu (à Auvours).
- 14 juillet : le grand 2 sera sur les Champs Elysées. Vous savez ce qu'il vous reste à faire !
- fin août : participation aux cérémonies de BAZEILLES à Fréjus et au régiment.
- vendredi 28 octobre: dîner dansant au cercle mess du 2ème RIMa.
Toutes ces activités ont fait et feront l'objet de courriers spécifiques. N'hésitez pas à venir nombreux : la cohésion doit être l'une des forces majeures de notre amicale.
Un grand et chaleureux merci à vous toutes et tous pour l'attention et la confiance que vous avez bien voulu m'accorder durant ces 4 années.
Le président.