Mon Colonel, cher Président,
C'est avec beaucoup de tristesse que je viens seulement d'apprendre ici à Tahiti, en lisant l'Ancre d'Or et votre éloge funèbre, le décès de notre ami Daniel LORIDAN.
Je l'ai bien connu dans les années 1970 où nous servions ensemble au 3° RPIMa et je l'appréciais beaucoup. Depuis la vie nous avait séparés et je ne l'avais malheureusement revu qu'une seule fois à Paris à l'occasion d'une manifestation des TDM au bois de Vincennes.
Je partage la peine de votre Amicale ainsi que celle de sa famille. Je vous demande de bien vouloir transmettre à son épouse (n'ayant pas son adresse) l'expression de ma toute ma sympathie et celle de ma profonde compassion.
Nous ne l'oublierons pas.
Merci à vous et bien cordialement.
GCA (cr) M. LE PAGE