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2° RIMa-AUVOURS: LE JEU DU CHAT ET DE LA SOURIS ENTRE L'ADJUDANT

D'UNITE ET LE CAPORAL KHAMIS.

 

(tiré des souvenirs de J.C GRAFFIN,Vice-président de l'Amicale )

La scène se passe en deux épisodes à la première compagnie qui n'était pas encore devenue « La compagnie CHAMEAUX » Acte 1 o_Un jour de 1978, pour les besoins du service le Caporal KHAMIS (membre de l'Amicale) de la section MARECHAUX est désigné comme conducteur. Alors adjudant d'unité et maitre d'oeuvre de l'organisation du service et de son application, je fais mander le Caporal par le service de semaine qui, au bout d'une dizaines de minutes ; me rend compte que l' intéressé est introuvable. Connaissant le « loulou» je me doute bien que ce « cher caporal », très bon soldat par ailleurs, doit se la couler douce dans un coin de la compagnie. Emportant toutes les clefs des locaux et des chambres et accompagné du sergent de semaine, je me mets à la recherche de mon loustic. Le premier local visité est sa chambre. Ayant regarder dans tous les recoins de la pièce sans succès, et alors que nous étions sur le point de sortir, je donne un coup de pied dans un sac marin qui dépassait de dessous son lit (à cette époque, les paquetages « Guépard »étaient rangés, faute de place, sous le lit). A notre surprise un « AlE» se fait entendre. Mon bon KHAMIS avait trouver la cachette idéale pour roupiller en se glissant dans deux sacs marins.Après avoir été houspillé comme il se doit, KHAMIS a pris son service sans se faire de soucis. L e cOlrunandant de compagnie et moi-même avons bien ri de cet épisode. Acte 2 -Quelques jours plus tard, KHAMIS est à nouveau recherché pour une mission. Fort de l' expérience de la première disparition, je me dis que mon bon Caporal a peut être bien récidivé. Le premier objectif est la recherche sous les lits mais il reste vain.C'est alors que des ronflements parviennent d'une armoire penderie. BINGO! Mon bon KHAMIS, après avoir endossé une capote et accroché aux portemanteaux, dort du sommeil du juste. Son réveil a été brutal mais dans mon fort intérieur, je me régalais de ce jeu qu' il avait entamé pour berner ses Cadres Il a fallu que l'on se retrouve à l'Amicale pour raviver ce souvenir. J'en ris encore
Jc Graffin

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