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En 2014, alors qu’il était ministre de la Défense,Jean-Yves Le Drian avait demandé un état des lieux des casernes et autres bases après avoir constaté, lors de ses déplacements, une dégradation des conditions de vie et de travail des militaires.Ainsi, 700 « points noirs » furent recensés, ce qui donna lieu à un « plan d’urgence » afin d’améliorer les « infrastructures vie » (c’est à dire l’hébergement et la restauration) d’ici 2022.

Avec les contraintes budgétaires de ces dernières années, les investissements en faveur des infrastructures, pourtant prévu par le planVivien, lancé une quinzaine d’années plus tôt, avaient en effet servi de variable d’ajustement. Pour la seule armée de Terre, entre 2007 et 2017,l’effort passa de 6 à 2 euros par mètre carré.Par ailleurs, pour des raisons économiques, de sécurité ou tout simplementd’éloignement, de plus en plus d’engagés non chargés de famille font le choix de vivre au quartier et non en ville. Et, évidemment, quand les locaux sont dégradés du fait de l’usure et d’un manque d’entretien élémentaire,cela joue sur le moral des troupes.

S’agissant des infrastructures liées à la vie du soldat, un rapport publié par le Sénat en juillet 2017 avait sonné l’alarme. « Certains logements du camp du 2e Régiment d’Infanterie de Marine [RIMa] du Mans apparaissent très dégradés et les conditions sanitaires ne correspondent plus aux standards actuels de confort.

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