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Les hommes du DLAO vivent «en famille» pendant près de quatre mois d’opex. Cent jours à tenir un petit fort perdu ravitaillé une fois par semaine, parfois moins. «Ici on fait tout nous-mêmes, personne ne nous prépare àmanger, souligne le capitaine Quentin,maître des lieux et commandant du camp.La vie est très rythmée, entre les temps forts,notamment Vignemale, et les temps plus calmes, avec des patrouilles ou des sécurisations de villages.»

 

TEXTE ET PHOTOS : FRÉDÉRIC MARIE/HANSLUCAS

 

 

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